| | Un nouveau monde | |
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Votre perso préféré ? | Red, le bourrin assez débile | | 0% | [ 0 ] | Timo, l'informaticien hippie | | 0% | [ 0 ] | Aurore, celle qui adore Red | | 0% | [ 0 ] | Marine, celle qui adore Timo | | 0% | [ 0 ] | Plakia, le sadisme incarné | | 100% | [ 3 ] | Arceus, le Dieu avec un grand D | | 0% | [ 0 ] | Dilo, le matheux | | 0% | [ 0 ] | Girénié, le type qu'à rien dans la tête | | 0% | [ 0 ] |
| Total des votes : 3 | | |
| Auteur | Message |
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Rayquaza Administrateur
Nombre de messages : 497 Age : 24 Blâmes : 0/4 Pokédollards : 50 Date d'inscription : 13/12/2008
| Sujet: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:14 | |
| Sous autorisation de Lukia, j'ai le droit de poster une deuxième fic en complément de la première. Oui, je sais, tant que l'on a pas terminé une fic on peut pas en poster une autre. Mais j'ai une manie légendaire à en écrire plusieurs à la fois. Autorisation de Lukia: - Spoiler:
Julien dit : Oki mais pas une de plus dit : Nion Julien dit : tu dis bien que c'est avec mon autorisation Julien dit : et je posterai dit : Oki, mici ^^
Je pense que c'est assez explicite. Mais je mets l'avertissement à SUIVRE ! En cas de pâleur ou de dégoût, je ne suivrai aucune plainte. Classement : 16+ / 18+Vous pouvez lire quand même si vous n'avez pas ces âge-là, mais bon... Pour vous prévenir, j'utilise souvent les mêmes persos. Pourquoi : Il n'y a pas de chapitres. - Spoiler:
Notre histoire commence dans le passé… là où le temps ne s’écoule pas normalement et où l’espace est infini. Un monde… où rien ne vit… un monde… dominé par des ténèbres harassantes… et deux déités très puissantes. Trois autres petites créatures, enveloppées dans un anneau de lumière, vivaient dans ce monde… si inquiétant et mystérieux. Comment faisaient-ils ? Comment s’allient-ils ? Ces questions sont encore inconnues.
Les cinq entités se réunirent au milieu d’un champ de ruines flottantes. Ils s’agissaient en fait de mondes amenés par une déité. Celle-ci émit un rugissement qui attira l’attention des autres créatures. Peu après, un halo de lumière blanche amena une sixième créature… Cette créature possédait un millier de bras, ressemblant à des tentacules.
L’être blanc mystérieux s’avança vers les cinq autres créatures qui se prosternèrent devant lui. Soudain, une des deux déités, celle qui était bleue, prit la parole :
« Nous façonnons ce monde sous vos ordres, votre majesté. - Tous les préparatifs sont-ils prêts ? Demanda la déité blanche. - Oui. Le temps s’apprête à s’écouler normalement, et l’espace aussi, reprit la créature bleue. - Commençons. »
A ces mots, la créature blanche se concentra, pour faire virevolter ses bras dans toutes les directions. Ses bras formèrent une lumière intense, qui créa un immense vide noir. L’espace fut né. La créature rose écarta ses bras. Une lumière de la même couleur que lui apparut dans ses mains. Cette lumière s’étendit, formant une gravité zéro. Tout flottait encore plus.
« La gravité est instaurée, dit la déité rose. - Que les terres se forment ! Cria l’être banc. »
Les pierres flottantes qui naviguaient dans l’espace s’allièrent pour former de grands espaces de terres. Ils prirent une forme ronde. Mais juste avant que les sphères ne se referment, la créature blanche ordonna aux trois petites créatures :
« Que cette terre prenne vie ! - Nous allons faire cela tout de suite ! Dirent en chœur les trois petits êtres. »
Ils se dirigèrent vers la fente de la sphère. Les trois créatures créèrent ensuite une gigantesque boule de feu pour la placer au centre de la grosse boule de roche. Un liquide orangé sorti de la boule de la même couleur.
« Nous assistons à la naissance de ce soleil. La lave au centre va s’étendre au fur et à mesure, pour former une lumière très intense, ce qui va éclairer chaque planète autour de lui, dans un très grand rayon. »
La déité rose fit une copie de ce soleil pour l’étendre à d’autres endroits. Mais il fit cela de manière à ne plus s’en occuper, ce qui étendra l’espace à l’infini. Les trois petites créatures créèrent d’autres boules de lave, mais moins grosses, pour chaque autre planète. Cette activité dura six jours entiers, six jours de notre heure à nous. Au septième jour, la créature blanche donna naissance à une autre petite entité rose, avec une longue queue qui allait dans tous les sens. Son créateur lui ordonna :
« Donne naissance aux habitants de chaque planète. - Oui ! Répondit avec enthousiasme la petite créature rose. »
Ce dernier s’attela à sa tache pendant un jour entier. La déité blanche déclara enfin :
« Enlevons le chaos sur ces terres ! »
Toutes les déités créèrent sur une planète en particulier, la Terre, de l’eau, de la végétation et d’autres matières premières sur la planète encore quasiment inhabitée.
« Nous ferons de cette planète notre point de rassemblement. Toutes les créatures ayant participée à la création de ce monde habiteront ici, ainsi que les habitants de départ de cette planète. »
Ils s’endormirent tous pendant de très nombreuses années, de nouvelles déités se créant quelquefois… Aujourd’hui encore, ils dorment tous… à l’abri des regards humains, et…
CETTE FIC AYANT ETE CREE PAR MOI-MÊME, ELLE EST SOUS MES DROITS D'AUTEURS. COPIE STRICTEMENT INTERDITE. (Si vous voulez quand même prendre des idées ou autre, me prévenir par MP et attendre mon accord (et mes conditions)).
Dernière édition par Rayquaza le Mar 27 Jan - 19:40, édité 5 fois | |
| | | Lukia Aemy Administrateur
Nombre de messages : 1439 Age : 28 Localisation : Ssbb Blâmes : 0/4 Pokédollards : 400 Date d'inscription : 05/12/2008
| | | | Rayquaza Administrateur
Nombre de messages : 497 Age : 24 Blâmes : 0/4 Pokédollards : 50 Date d'inscription : 13/12/2008
| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:23 | |
| - Spoiler:
Une cloche sonna.
Maîtresse : Il est temps d’y aller. Demain, contrôle sur ce que vous venez d’entendre. Vous ne me sembliez pas vraiment enthousiasmés par l’histoire. Sachez, messieurs dames, que cette histoire doit être connue pour votre passage en seconde. La création du monde est un passage délicat qu’il faut connaître par cœur.
Un collégien se leva. Il avait des cheveux qui lui descendaient jusqu’au coup, et il portait un sac plus gros que lui. Il avait quatorze ans, et il se sentait à l’aise dans sa classe de troisième. Il apprenait l’informatique et voulait faire des études dans ce domaine, plus tard. Son nom, enfin son diminutif était Timo.
Timo : Madame… Mais il y a une question qui me trottine dans la tête. Comment s’appelaient ces créatures ? Maîtresse : Il ne s’agit que d’une légende.
Que d’une légende, que d’une légende… Lui qui était aussi un accro de mythologie !
Timo : Mais ça a existé, normalement, nan ? Maîtresse : Je n’en sais rien. Je sais juste que tu dois l’apprendre pour demain.
Il sortit du collège, encore plus embrouillé qu’avant. Il connaissait cette histoire, ainsi que des centaines d’autre, mais ne connaissait pas le nom de la créature originelle, ainsi que ses amis. A peine rentré chez lui, il se mit à ses devoirs pour ensuite aller sur son ordinateur, parler sur une messagerie instantanée. Il avait un ami lui aussi passionné de mythologie, mais de deux légendaires seulement. Il s’appelait Red.
Timo : Elle veut toujours pas me dire qui est l’être originel. Red : Boarf, ça viendra. Timo : Elle me dit qu’elle ne sait pas qui c’est. Red : C’est possible. J’ai l’impression que personne ne sait. Timo : Moi aussi.
Leur discussion s’éternisa jusqu’en soirée, jusqu’à ce qu’ils aillent se coucher. Mais pendant la nuit…
« Le millénaire commence… il est temps de commencer mon règne… »
Le lendemain matin, le soleil brillait faiblement, caché derrière les nuages. Lorsque Timo sortit de chez lui, les gens couraient à travers la rue, comme si ils essayaient d’échapper à quelque chose. Et ce quelque chose se rapprochait… Une chose rouge gigantesque, qui crachait des flots de lave sur les gens.
Pendant ce temps, en Corse, lieu d’habitation de Red, les gens couraient également. Une chose verte, dans le ciel, les poursuivait en leur lançant des attaques Ultralaser.
Red : Mais, c’est… Les gens : FUYEEEEZ ! AAAAH ! Red : Rayquaza ? Rayquaza : GRAAAAOR ! QUE ME VEUX-TU ?! Red : Euh… pourquoi tu attaques tout ? Rayquaza : Ordre que l’on m’a donné. Est-ce que tu t’appelles Red ? Red : Euh… pas vraiment. C’est juste un diminutif de pseudo. Rayquaza : Viens avec moi. Red : Pour faire quoi ? Rayquaza : Tu verras cela par toi-même. Red : Bon… d’accord.
Il se plaça sur le dos de Rayquaza, qui décolla aussitôt. Plusieurs endroits du monde étaient attaqués par des légendaires. Personne ne savait ce qu’ils voulaient exactement. En revanche, ces derniers arrêtaient toujours leur attention sur un adolescent en particulier, pour ensuite l’emmener quelque part…
Timo : Groudon, hein ? Groudon : Je vois que tu me connais. Bien. Cela m’épargnera les présentations. Il faut que tu viennes avec moi. Timo : Ben… pourquoi ? Groudon : Ordre reçu, je dois obéir et toi aussi. Timo : Beuh… qui a donné cet ordre ? Groudon : Je n’ai pas le droit de le dire. Ordre reçu. Timo : Un petit timide, alors.
Groudon, sans doute las d’attendre, prit Timo dans sa main pour l’emmener lui aussi. Qu’allait-il arriver ? Ce petit manège dura pendant une semaine, chaque légendaire emmenant un adolescent.
Bien plus tard, dans un lieu inconnu…
Les légendaires étaient assis tranquillement, devant les adolescents qu’ils avaient enlevés. Ces derniers somnolaient, après avoir fait un long voyage avec eux.
Un petit instant plus tard, les créatures légendaires se mirent à réveiller les endormis. Et là, ce fut la grande surprise…
Red : Mais… on est où, là ? Timo : Connais pas cet endroit… On est en plus au bord d’une falaise. Faut pas tomber. ?????? : Mais… vous êtes qui, vous ? Timo : Ben… moi j’suis Timo. Latiniste informaticien. Red : Tu es… Timo ? Ah, je suis Red ! Timo : Ah ! Red… alors, ça va ? Red : Oui, comme tu peux le voir, et… Rayquaza : Rheum rheum… On ne vous dérange pas ?
L’ambiance changea brusquement. Tous les adolescents autour des deux énergumènes en train de parler leur firent des regards noirs, ce qui effraya les deux papoteurs.
Timo : Ben qu’est-ce qu’on a dit, hein ? Groudon : Hum… bien. Vous êtes tous là, et on va pouvoir passer à table.
Sur ces derniers mots, les adolescents eurent une très grande frayeur. Ils n’allaient tout de même pas…
Groudon : Mes amis légendaires… A TABLE ! Tous les adolescents : Et merde…
Poursuivis par les légendaires – affamés ? –, les jeunes coururent dans toutes les directions. Suivons-les pour voir un peu et pour les découvrir…
Partis dans la forêt, nous retrouvons Red avec une fille à bonnet blanc et aux cheveux bleus. Elle était vêtue d’une robe courte noire ainsi que des chaussures roses avec des chaussettes noires. Red, lui, était habillé en rouge. Il avait des cheveux brun foncé, quasiment noirs, qui s’alliaient bien à ses branches de lunettes. Le garçon portait une veste rouge à bandes jaunes, et avait également un pantalon noir avec des petites bandes de rouge. Ils coururent une bonne heure à travers les bois.
Red : Pfiou… On doit les avoir semés… ça va ? ?????? : Oui… pfeuh… faut qu’on se cache pour souffler un peu… Red : Au fait, comment tu t’appelles ? ?????? : Je m’appelle Aurore. Et toi ? Red : Je m’appelle Red. Aurore : Enchantée, mais…
Elle fut coupée par un grognement puis par des voix. C’était Rayquaza et Elector.
Elector : Chuuuut ! Grogne pas si fort ! Rayquaza : Désolé. Saleté de Migalos… Ca n’arrête pas de me mordre. Elector : Ben envole-toi ! Rayquaza : Non. Puisqu’ils sont dans cette forêt, on risque de ne pas les voir.
Ils se mirent à chercher Red et Aurore… qui ne furent finalement pas découverts. Pour ces derniers, l’ambiance n’était pas trop à la fête… au contraire. Ils étaient effrayés et ne se doutaient pas qu’ils vivraient quelque chose comme cela.
Plus loin, deux autres adolescents couraient… ou plutôt tombaient. Ils sont partis dans la direction opposée à la forêt ; ils avaient carrément sauté de la falaise. La première était une fille aux cheveux bleus qui portait un pantalon bleu foncé à bandes rouges et d’un tee-shirt bleu à bandes rouges également. Le second, Timo, avait des cheveux blonds foncés et était habillé d’une veste noir et d’un pantalon rouge. Et Latios les suivait dans leur chute.
?????? : Il va nous attraper ! Timo : Meuh non ! Regarde.
Latios se rapprochait dangereusement d’eux, bien déterminé à atteindre son but. Lorsqu’il vint au niveau de Timo, celui-ci lui fit :
« Smash météore ! »
Le Pokémon éon ne parvint pas à arrêter sa brutale chute et tomba violemment dans l’eau, suivi de l’atterrissage aquatique plus calme de Timo et de l’adolescente qui l’accompagnait. Latias, au sommet, déboussolée, descendit rapidement pour secourir son frère qui avait une grosse bosse sur sa tête. Quant aux deux baigneurs humains, ils sortirent rapidement de l’eau, pour se réfugier dans une forêt.
Latios : On doit les avoir. Il y en a de disponible ? Latias : Oui. Darkrai. Latios : C’est peut-être un peu brutal, mais va les chercher avec lui. Pendant ce temps, je vais faire trempette… hihihi… Latias : T’inquiètes pas ! Je m’en occupe !
La sœur de Latios remonta au sommet de la falaise pour chercher le futur cauchemar des deux fugitifs… qui couraient encore et toujours…
?????? : T’as une idée de l’endroit où l’on va ? Timo : Nan. Mais l’improvisation, ça me connaît ! ?????? : Han ! Mais c’est pas le moment de blaguer ! On est poursuivis par des légendaires affamés ! Timo : Boarf… Pas pire que le virus qui a ravagé des milliers d’ordinateurs en quelques secondes…
Ils continuèrent de courir non pas pendant quelques secondes, mais pendant une bonne trentaine de minutes.
Timo : Pfeuh… pfeuh… On doit les avoir semés là… ?????? : Tiens, au fait… comment tu t’appelles ? Timo : Je suis connu sous le diminutif de Timo. Et toi ? ?????? : Je m’appelle Marine. Timo : On doit aussi retrouver les autres. Après cette dispersion bordélique, j’ai rien vu venir.
Soudain, le ciel devint noir. Il n’y avait pourtant aucune raison à cela : il était bleu et sans nuage très peu de temps avant ! Il s’agissait peut-être de…
Darkrai : Où êtes-vouuuuus ? Venez, on va bien se marrer ensemble !
Les visages de nos deux fuyards virèrent tout de suite au pâle. Darkrai n’allait pas leur faire de cadeaux… déjà, il allait les endormir puis leur infliger un cauchemar… jusqu’à ce qu’ils finissent mangés, dans leur plus grande souffrance. Rien que d’y penser, ça les rendait malade.
Timo, tout bas : On doit encore s’enfuir… Marine, tout bas : Oui, faut qu’on se dépêche !
Plus loin, vers des plaines qui ne se finissent jamais, un autre « couple » courait à vive allure. Les poursuivants, Palkia et Giratina, étaient bien déterminés à les avoir. Le premier fuyard, ou plutôt la première fuyarde était comme vous pouvez le constater, une fille. Elle avait des cheveux violets et portait des habits violet clair et blancs. Elle ne portait qu’un tee-shirt et qu’un pantalon, pourtant elle ne semblait pas avoir froid (vu comment elle courait, aussi…). Le second fuyard, lui, avait de longs cheveux noirs s’alliant bien avec ses habits. Il portait un pantalon de velours noir avec un tee-shirt assorti d’une veste noirs.
Ils couraient, ils couraient… sans s’arrêter. Palkia et Giratina, eux, commencèrent à être à bout de souffle. On pouvait voir que courir n’était pas vraiment leur hobby.
Palkia : Qu’est-ce qu’on fait ? J’en peux plus… Giratina : Ouais… Trop dur de courir. Mais j’ai une idée…
Ils se stoppèrent cinq minutes pour discuter de cette idée. Pendant ce temps, les deux fugitifs trouvèrent une petite avancée rocheuse pour souffler et pour s’y cacher. Le garçon habillé en noir était nommé Drak et la fille à ses côtés s’appelait Arkia.
Arkia : On fait quoi ? Drak : Et si on se reposait ? Arkia : Bonne idée… comme ça ils pourront nous manger pendant que l’on dort ! Drak : C’était une idée ! Calme-toi !
Mais ils se reposèrent quand même, sans s’endormir. Giratina et Palkia n’étaient pas très loin… Pas très loin du tout, même…
Palkia, télépathiquement à Giratina : Tu es prêt ? Ils sont là, juste en dessous… Giratina, télépathiquement à Palkia : A trois, on y va. Un, deux… trois !
Les deux humains fuyards se firent capturer.
Autre part, dans une descente de montagne…
Artikodin : Je comprends pas… ils étaient là il y a deux secondes. Mew : Ben… ils viennent de disparaître…
En fait non, ils n’avaient pas vraiment disparus. On peut dire plutôt… qu’ils étaient difficulté sans le reconnaître vraiment. En fait, en essayant d’échapper à leurs poursuivants, ils ne virent pas le ravin… et pendent par les pieds… Parmi eux, un était habillé tout en bleu avec diverses bandes argentées sur des vêtements. Il avait des cheveux bleu gris. L’autre portait aussi des habits argentés avec quelques touches d’indigo. Il avait également les cheveux de couleur argentée. Celui qui était habillé en bleu se nommait Dilo, et celui habillé en argenté se nommait Luigi.
Ils étaient en mauvaise posture. Entre les légendaires affamés du dessus et le vide du dessous, que de réjouissances en perspective. Ils ne pouvaient rien faire de grandiose, à part…
Luigi : Appeler au secours ? Dilo : Mais t’es malade ? On va nous bouffer ! Luigi : Tu préfères peut-être t’écraser ? Dilo : Ben au moins, c’est sans douleur ! Luigi : Et si on s’écrase, qu’on se broie tous les os mais qu’on ne meurt pas, hein ? Dilo : Euh… ça fait réfléchir.
Une réflexion de deux minutes s’imposa.
Dilo : Euh… on demande du secours ? Luigi : Je crois que ça s’impose. AU SECOOOOURS ! Dilo : AIDEZ-NOUS !
L’attention de Mew et d’Artikodin se détourna aussitôt. Ils avaient reçu l’ordre de ne pas laisser mourir ces humains. Et ils devaient faire vite quand ils s’aperçurent que les cris venaient de la paroi de la falaise.
Mew : Tenez bon, on va vous aider. Artikodin : Accrochez-vous !
Les deux légendaires aidèrent les deux accrochés à se libérer. Ils remontèrent sur la route de la falaise.
Dilo : Ne nous mangez pas ! Pitié ! Luigi : On fera tout ce que vous voudrez mais ne nous mangez pas !
Artikodin et Mew se regardèrent puis explosèrent de rire. Les deux garçons ne comprenaient pas la raison de leur fou rire.
Mew : Mais… On n’avait pas l’intention de vous manger. Artikodin : C’était une sorte de petite blague, en gros. Dilo : Une blague où je risque ma vie ? Luigi : Pas drôle, comme blague. Mew : Par contre, nous allons vous téléporter avec nous, dans un endroit où on vous dira tout. Mais avant que l’on vous raconte ce qu’il se passe, vous allez devoir attendre que les autres se fassent capturer.
Mew téléporta tout le petit groupe dans un autre lieu, plus mystérieux cette fois.
Les poursuites durèrent toute la journée, certains groupes se faisant capturer. Au fur et à mesure de la traque, les légendaires ayant capturé des groupes revinrent sur le terrain de chasse pour en capturer d’autres. Et des groupes, en soirée, il n’en resta que deux.
Le premier groupe restant, le groupe d’Aurore et de Red, arrivèrent dans une grotte pour espérer y dormir. Mais un grand nombre de légendaires les poursuivait. Ce n’est que tard dans la nuit que les fuyards s’endormirent malgré eux…
Red : Aurore, Aurore ! On s’est endormis ! Aurore : On doit vite sortir d’ici !
A peine sortis de la grotte, ils se firent avoir par les légendaires sans qu’ils n’eussent le temps de réagir. Leur traque était terminée. Il ne restait qu’un groupe.
Marine : TIMO ! ON EST ENCERCLES ! Timo : Ben on va casser la macro. Enfin…
Marine était en pleurs dans les bras de Timo, qui ne savait pas quoi faire dans ces instants. Palkia se rapprocha d’eux, les prit, et téléporta tout le groupe vers le point de rassemblement, qui était autre part…
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| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:26 | |
| - Spoiler:
(A partir de là, il va y avoir de l’action, promis). Quand ils arrivèrent dans l’endroit inconnu, Palkia les rejeta violemment par terre. Marine fit des roulés-boulés le long du sol tandis que Timo s’écrasa sur le mur comme une mouche. Tous les autres adolescents capturés étaient là, plus ou moins ensanglantés. Red et Aurore étaient salement amochés à cause de leur longue escapade à travers le bois. Marine et Timo devaient, eux, échapper aux assauts répétés des légendaires. Eux aussi étaient salement amochés. Les deux groupes déversaient des flots de sang.
La salle où tout le monde se trouvait était une salle avec des murs violets et blancs, et qui avait un sol carrelé des mêmes couleurs. Tous les adolescents étaient regroupés au centre tandis que les légendaires étaient tous autour d’eux. Peu après, un rayon de lumière blanche enveloppa la salle, et deux légendaires s’écartèrent pour en voir apparaître un autre : il s’agissait du dieu originel, Arceus.
Timo : Attendez un peu. C’est quoi ce bordel ? Dilo : Vous aviez dit que vous alliez nous expliquer ! Dites-nous pourquoi on est là ! Arceus : Je suis Arceus. La plus puissante divinité de ce monde. Mew, la feuille, je te pris.
Mew donna une étrange feuille à Arceus, sous les râles des adolescents.
Arceus : Les premiers, ceux qui ont réussi le premier test avec brio sont… Marine, Aurore, Timo et Red. Red : YESZ ! Mais… euh… comment ça un test ? Timo : Là je comprends pas… Marine : On a gagné ! Aurore : YOUPI YOUPLA ! Arceus : Vous verrez plus tard ce que tout cela signifie. Les seconds… il s’agit de Plakia et de Girénié.
Timo et Red avaient un lecteur MP3 branché à fond, ce qui troubla un peu certains légendaires… dont Darkrai.
Darkrai : Dîtes… Vous écoutez quoi ? Timo : Euh… Une remix entre Super Smash Bros Brawl et euh… Super Smash Bros Mêlée. Darkrai : Pouvez-vous me répéter ce que notre divinité à tous vient de dire ? Red, venant juste de retirer une oreillette : Notre divinité, notre Wii ? Eh bien… Elle n’est pas ici. Darkrai : Votre… quoi ? Timo : Notre Wii ! Notre divinité ! Nous lui obéissons pour des petites choses… Comme par exemple pour nettoyer son petit ventilateur. Red : Elle nous permet de vivre en paix… et de travailler nos techniques !
Darkrai, exaspéré devant tant… euh… d’insultes sur la personne d’Arceus, empoigna les deux fautifs puis les serra au point de les étouffer, pour qu’ils écoutent ce que le dieu avait à dire. Ou plutôt pendant qu’il faisait son classement. Les deux personnes qu’il avait nommées, Plakia et Girénié, semblaient un peu effrayant de part leur regard. La première avait des yeux rouges et avait un faux casque à double pointe. Ses cheveux, longs et violets, étaient coiffés en queue-de-cheval. Elle portait un plastron blanc aux bords violets au niveau de ses deux seins, suivi en dessous d’un tissu noir qui avait des trous en forme de losange sur les côtés. Sur les bras, elle ne portait rien… juste des mitaines violettes pour les mains. Sur les cuisses, elle ne portait rien. Elle portait juste deux jambières au niveau du tibia, se terminant par une paire de chaussures violettes. La plupart de ses camarades remarquèrent en premier lieu son armure… assez légère. Le second, Girénié, semblait beaucoup plus brutal et beaucoup plus imprévisible. Il avait des cheveux noirs qui descendaient jusqu’au cou et avait lui aussi des yeux rouges. Mais contrairement à Plakia, il avait des yeux rouge sang. La fille, elle, les avait rouges rubis. Le garçon portait également une longue veste à la fois grise et noire, surmontée de bandes jaunes entourant son dos. Il avait également un pantalon noir lui aussi entouré de bandes jaunes. Un sourire machiavélique se dessinait souvent sur le visage du garçon.
Palkia, à Dialga : Il paraît qu’il est extrêmement brutal… Il s’en serait prit à un légendaire… et lui aurait cassé une patte. Dialga : Ah… Mais tu as vu ça ? Il ne semble pas avoir d’âme ! Palkia : Eh bien… il faudra demander à Arceus pour cela. Pourtant, il sait ce qu’il fait. Pourquoi aurait-il choisi un gamin aussi brutal ?
Girénié semblait s’énerver. Les légendaires ayant eu affaire à lui reculèrent un petit peu, sachant de quoi il était capable. Le pauvre Sulfura était dans tous ses états, une patte cassée.
Girénié : Où se trouve la récompense, hein ?! Arceus : Une récompense ? Quelle récompense ? Girénié : Pour avoir gagné, tête de piaf !
Peu après ces mots, le silence régna. Arceus n’avait jamais vu quelqu’un, encore moins un humain… enfin ce qui ressemble à un humain lui parler comme cela. Mais le dieu ne semblait pas énervé.
Arceus : Je t’ai choisi pour tes redoutables capacités offensives… et aussi pour ta petite affaire personnelle. Girénié : Je ne veux pas de votre aide inutile ! Je trouverai tout seul celui qui a fait ça ! Et je le lui ferai payer.
Et Timo, comme à son habitude, intervint au moment où il ne fallait pas (mais alors vraiment pas).
Timo : Whooo ! Peace & Love, mec. Et si tu ne racontais exactement ce qu’il s’est passé ? Girénié : Qu’est-ce que tu veux, toi ? Tu veux que je t’explose la face ?! Timo : Non. Enfin pas encore. C’est juste que là t’es énervé pour rien. Girénié : POUR RIEN ?! RETIRE CE QUE TU VIENS DE DIRE ! Timo : Là, tu n’es pas cool, mec.
Arceus réussit à retenir de fou furieux qui allait s’en prendre à notre mélangeur de Smash Bros. Girénié était vraiment en colère, et les légendaires ayant eu affaire à lui craignirent pour le Brawleur.
Timo : Mais faut le laisser s’épanouir dans la nature ! Qu’il vienne me frapper si il veut. T’façon, je parie qu’il ne sait pas viser. Girénié : QUOOOOOI ?! ALORS LA TU VAS VOIR ! SALETE D’HUMAIN ! Timo : Euh… Je te ferais remarquer que tu es aussi humain.
Mais la bête féroce n’écoutait pas. Il se dirigea vers le Brawleur immobile, pour essayer de lui foutre une droite en pleine face. Mais Timo esquiva facilement cette attaque.
Timo : C’est tout ? Et dire que mon niveau de gym est pathétique. Girénié : QUE ?! Tu te fous de moi en plus !
Red, plus loin, regardait le combat en rigolant. Timo était un joueur intensif de Smash Bros Brawl. Ce n’était pas un clone humain de Giratina qui allait l’avoir aussi facilement. A force de donner des coups dans le vide, justement, il s’épuisait. Le garçon fou se rua sur Timo, qui semblait amusé de voir Girénié donner des coups dans le vent comme un taré. Mais Arceus intervint.
Arceus : Il suffit.
Les deux combattants (enfin dans ce cas-là : un combattant et un hippies en train de mourir de rire) se stoppèrent net. Une puissante magie les paralysait. Girénié essayait de se libérer tandis que Timo restait cool.
Arceus : Si je peux continuer dans le calme… merci. Alors, pour les suivants…
Et la séance s’éternisa. Les deux prisonniers d’Arceus ne faisaient plus rien, même si il y en a un qui avait la flemme de se libérer.
Red : Timo ! Tu aurais pu sortir de là ! Timo : J’avais la flemme et…
Il tomba au sol, ainsi que Girénié.
Timo : Ouilleuh. Girénié : Hmpf… Allez, je te pardonne. Serrons-nous la main.
C’est ce qu’ils firent… mais le sosie de Giratina écrasa la main de Timo, qui fit broyée.
Timo : TABERNAAAAAK ! MA MAAAAIN ! Girénié : Pfeuh… Je ne suis pas faible au point de me réconcilier avec quelqu’un, c’est mal me connaître.
Il s’en alla vers une grande porte d’où Giratina l’appelait.
Marine : Timo, ça va ? Timo : Moi oui. Ma main, non. Red : Montre ça…
Red pouvait sentir l’os de sa main en train de se décomposer. Timo avait vraiment mal.
Arceus : Vous quatre, vous restez ici. Tous les autres, dirigez-vous vers la grande porte. Un légendaire vous indiquera votre chambre. Demain, vous vous lèverez à sept heures. Le petit déjeuner aura lieu à sept heures quinze. On vous donnera ensuite les instructions pendant que vous mangerez.
Tous les enfants se mirent en position de garde pour saluer leur maître. Sauf Timo qui avait un léger problème de main. Peu après, tous les adolescents partirent, sauf les quatre concernés par l’appel d’Arceus.
Arceus : Vous avez pu faire la connaissance d’un être violent qui a horreur de la défaite. Timo : Merci, j’avais remarqué. Red : Mais pourquoi il est parmi nous ? Et puis d’abord, qu’est-ce qu’on fait ? Arceus : Beaucoup de questions… mais qui suggèrent une réponse. Normalement, j’allais vous en dire une partie demain. Mais vous… vous m’êtes assez spéciaux. Marine : Spéciaux ? Dans quel sens ? Red : On est puissants ? Arceus : Hohoho ! Vous voulez en savoir beaucoup d’un coup. Je ne peux pas tout vous dire pour l’instant. Mais pour commencer, je vais vous parler de cette première épreuve. Il s’agissait en faîtes d’une petites « chasse à l’homme » qui permettait de voir votre résistance, votre force, votre mental, votre endurance… bref, différents critères comme cela. Ceux qui ont réussi à leur échapper en dernier, c’est-à-dire vous, serons les mieux gradés. Et les grades sont importants, ici. Ils permettent de voir dans quel niveau vous êtes. Par exemple, les moins bien gradés auront une puissance assez inférieure à la vôtre. Mais ils seront tout de même puissants. Vous verrez demain de toute façon. Timo : Et concernant Girénié ? Arceus : Lui… il est devenu très violent depuis un certain temps. Avant, c’était un gentil garçon à la recherche de mythes sur les Pokémon légendaires. Mais un jour, il a touché à une magie bien trop dangereuse. Une magie enfermée par les déités des ténèbres. Aurore : Dont Giratina ? Arceus : Oui. Et il y avait surtout de la magie appartenant à Giratina. Mais ce n’est pas tout… Red : Il a cassé la main de quelqu’un d’autre ? Timo : RED ! C’est pas drôle. Arceus : Il n’a pas fait que casser une main… Il a également tué sa famille dans un meurtre extrêmement sanglant. Timo : C’est quand même pas le meurtre de… Arceus : Si. C’est bien lui qui les a tués. Aurore : Quel meurtre ? Timo : En fait, des archéologues célèbres se sont fait tués. Il s’agissait en faîte d’une famille archéologue. Et ils sont morts décapités, attachés par des agrafes sur le mur de leur salon. Ils étaient ensanglantés… le père, la mère, la fille et la petite dernière… et le fils restait introuvable. Red : On a longtemps pensé qu’il était porté disparu. Mais maintenant, on connaît la vérité. Marine : Mais pourquoi il a tué sa famille ? Arceus : Il y a deux raisons : la première, c’est parce qu’il détenait une puissance incontrôlable. La seconde, c’est parce que ses parents connaissaient beaucoup de choses sur les peuples vénérant Giratina. Mais il est tard, et si je vous racontais ce que faisaient ces peuples, vous ne dormiriez pas. Timo : Justement. Il va peut-être m’étriper, cette nuit ? Arceus : Non, ne t’inquiète pas. Du fait de ton poignet… euh… cassé, tu vas dormir sous protection. Dont la mienne. Et demain, je vous demanderai un gros service. Vous êtes les seuls capables de le ramener à la raison.
Les quatre adolescents se regardèrent.
Timo : Euh… on ne va quand même pas… Arceus : Si. Red : Et nous, on peut dormir tranquille ? Arceus : Oui. Girénié ne vous attaquera pas, il n’a rien contre vous, normalement. Marine : Et où va-t-on dormir ?
A ce moment, un Célébi, un Rayquaza et un Kyogre sortirent de l’ombre.
Rayquaza : On va vous mener à vos chambres. Vu les circonstances, nous irons avec Timo.
Dans l’ombre, il ne restait une grande forme noire qui semblait épineuse. Mais personne ne semblait s’en soucier… hormis Timo.
Timo : Mais il reste un légendaire, là, dans l’ombre ! Arceus : Tout juste. Mais comme je n’avais pas prévu les évènements d’aujourd’hui… Groudon, je te prie.
Le légendaire de la terre s’avança vers le Brawleur au poignet écrasé.
Arceus : Conduis-le à l’infirmerie. Je vous rejoins rapidement.
Pendant ce temps, Rayquaza et Célébi conduisirent Red et Aurore dans leur chambre. Vu les performances au premier test, les légendaires étaient sûrs qu’ils allaient bien s’entendre, tous les deux. D’ailleurs, plusieurs adolescents dormaient à deux. Mais pas forcément un garçon et une fille…
Dilo : Luigi ! Arrête de ronfler ! Luigi : Rrrooon… Pfuuuuh… Dilo : C’est parti pour une longue nuit et il n’est que… 1h25 du matin. Pas de chance…
Marine fut aussi conduite par Kyogre dans la chambre qu’elle devait normalement partager avec Timo. Mais comme celui-ci était sous protection avec poignet écrasé…
Marine : C’est spacieux. Mais je vais dormir tout le temps toute seule ? Kyogre : Non. Timo viendra te rejoindre dès que… son problème sera réglé.
De leur côté, Red et Aurore commencèrent à se coucher. Mais n’ayant pas sommeil, ils discutèrent un petit peu.
Aurore : Depuis quand connais-tu Timo ? Il a l’air excentrique, quand il s’y met. Red : Oh… Je le connais depuis assez longtemps. Mais il n’est pas vraiment cinglé. C’est juste un joueur intensif de Brawl. Et en voyant sa technique de jeu… on voit qu’il passe de longues heures dessus. Aurore : Et toi, que fais-tu ? Red : Je joue à Brawl, aussi. Mais je dessine, j’écris, je bois des laits grenadine, je mange, je… Aurore, coupant Red : Euh… je crois que ça suffira, là… Red : Bon. Et toi, que fais-tu ? Aurore : Pas grand-chose. Je restais cloîtrée chez moi à la recherche d’un petit concours… Red : Jusqu’à l’attaque. Aurore : Oui, mais ils n’ont rien détruit. Red : Oui, leur intention était seulement de nous récupérer. Aurore : Bon, il est tard. Quelle heure est-il ? Red : 1h35 du matin. Allez, on se couche. Bonne nuit ! Aurore : Bonne nuit.
Et ils s’endormirent. Mais il restait encore des personnes éveillées. Timo, par exemple.
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| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:28 | |
| - Spoiler:
Arceus : Avant toute chose, je vais te soigner ça. Mais crois-moi, je ne ferai pas ça à chaque fois. Timo : Tu ne feras pas quoi à chaque fois ? Arceus : Je ne te soignerai pas tout le temps. Il faut que j’économise mes pouvoirs.
Un halo blanc entoura la divinité. Ce halo blanc se transforma en une boule de lumière qui entra dans Timo, et qui remodela sa main et son poignet.
Groudon : Bon, maintenant, tu dois bien nous écouter, c’est vraiment important. Rayquaza : Si tu ne réussis pas à faire ce qu’on va te demander avec tes amis, ce sera la catastrophe !
Rayquaza, prit d’une soudaine panique, secoua Timo comme un demeuré.
Arceus : Rayquaza, je te pris. Je sais que cela est très grave, mais laisse-le au moins respirer… Rayquaza, lâchant sa victime : Euh… oui, désolé. Timo : Bon… C’est quoi le problème ? Arceus : Disons que… Girénié est vraiment une menace pour nous tous. Timo : Bah fallait pas le recruter. Arceus : Cela m’indigne que tu ne comprennes pas la situation. Timo : Si, je comprends. Mais là, je risque un peu ma vie. Arceus : C’est dans cet endroit que tu vas t’entraîner pour cette tâche. Timo : Euh… dans l’infirmerie ?
Un silence se fit.
Rayquaza : Arceus, tu peux lui faire une analyse de son cerveau ? Il a peut-être été touché lors de la chute… Arceus : Son cerveau va très bien. Mais reprenons un peu de sérieux. Cette base est l’endroit où tu vas t’entraîner. J’ai une salle à moi. Tu pourras venir me consulter quand tu en auras besoin.
Il se dirigea vers la porte.
Timo : Heeey ! Arceus : Groudon, Rayquaza et Kyogre, montez la garde. Les trois légendaires : Bien, divinité Arceus !
La porte se ferma laissant Timo en plant. Il aurait aimé savoir où se trouvait la salle d’Arceus.
Il était 1h57 du matin, et tout le monde, ou presque dormait. Il ne restait plus que Timo qui n’arrivait pas à s’endormir, les trois légendaires qui montaient la garde ainsi qu’Arceus qui tournait en rond sans que l’on sache pourquoi.
Le lendemain, tout le monde était au petit déjeuner à l’heure. Personne ne semblait vouloir s’asseoir à côté de Girénié… sauf les autres créatures des ténèbres. A l’autre bout de la grande table, le groupe des quatre moins un attendait le membre manquant.
Red : Timo est encore à l’infirmerie ? Rayquaza : Non.
Rayquaza ayant surgit brusquement, Red se retrouva la tête la première dans son lait grenadine. Aurore pouffait de rire tandis que Marine eut réagi au mot que le dragon vert avait prononcé.
Marine : Ben il est où, alors ? On ne le voit pas. Rayquaza : Il est parti chercher une carte de la base. Mais il sera là à l’heure. Red, s’essuyant : A l’heure pour quoi ? Rayquaza : Pour les explications d’Arceus.
La porte s’ouvrit doucement, laissant apparaître une carte repliée accompagnée d’un bras. Girénié réagit à cette intrusion :
Girénié : Il en veut encore, lui ? Timo : Who ! Tu peux me laisser manger avant de me frapper ? Rayquaza : Je ne crois pas que tu vas avoir le temps. As-tu récupéré ton équipement ? Timo : Oui. Ca a prit un peu plus de temps que prévu. Red : Quel équipement ? Timo : Deux trois bricoles. Red : Tu veux un croissant ? Timo : Ouaip, merci.
Pendant que Timo mangeait goulûment son croissant, les lumières s’éteignirent, laissant place à Arceus qui était placé sur une estrade, un micro devant lui.
Arceus : Merci d’être venus à l’heure. Mais ne perdons pas de temps. Voici ce que nous allons faire aujourd’hui : pour commencer, vous irez tous vous prendre une douche dans vos chambres. Vous aurez une heure et quinze minutes, et si il vous reste encore du temps, faîtes vous beaux. Ensuite, nous passerons à un petit entraînement, suivi de votre repas de midi. Vous apprendrez ensuite le maniement des armes. Et chacun en ayant une différente, on s’adaptera. Pour terminer, vous pourrez souffler un petit peu vers 16h. Nous ferons ensuite une série d’explications pratiques pour vivre ici. Sans plus tarder, dès que vous avez fini, veuillez rejoindre vos chambres.
Chacun suivit les instructions, mais…
Girénié : Alors, bouffon, ton poignet est guéri ? Timo : Il t’aura fallu une déduction de combien de pages pour le voir ? Girénié : OH ! Tu me parles meilleur ! Timo : Au moins, moi savoir causer France. Girénié : Un poignet cassé ne te suffit pas ?!
Girénié concentra son poing mais se fit attraper par le col par son adversaire, et passa au compresseur sous ses pieds pour se prendre un coup de pied dans le nez en se faisant libérer.
Girénié : CETTE FOIS, TU VAS CREVER ! Timo : Ah ?
Girénié concentra son poing une nouvelle fois. Mais il s’affaiblit aussitôt lorsqu’il vu qu’une épée apparaissait dans la main de Timo. L’épée apparut encerclée par des flammes.
Timo : Tu choisis la méthode de découpage ? Girénié : Euh… on se retrouvera !
Il parti en courant jusque sa chambre.
Red : Tu t’es pris pour qui, là ? Timo : A toi de le deviner. Rayquaza : T’as pas hésité, en tout cas.
Ils partirent eux aussi se préparer. Mais Rayquaza interrogea Arceus :
Rayquaza : T’es sûr que c’est une bonne idée d’avoir fait ça ? Arceus : Oui. Nous verrons bien cet après-midi, de toute façon. Mais normalement, tout devrait assez bien se passer.
Red et Aurore rentrèrent dans leur chambre. Ils découvrirent alors un équipement pour la jeune fille, avec un petit mot à côté :
« Cet équipement de combat est réservé à Aurore. Il comprend deux lames, une tenue de combat, un sac à dos adapté, des outils à mettre dans le sac ainsi qu’une fiche contenant quelques techniques de combat. Red n’a pas d’équipement, tout vous sera expliqué tout à l’heure. »
Red : C’est pas juste ! J’ai rien, moi ! Aurore : C’est dit que tout nous sera expliqué tout à l’heure. Red : C’est pas juste quand même.
Ils se préparèrent tranquillement. Aurore regardait un peu ce qu’elle avait reçu tandis que Red ronchonnait dans son coin. L’heure passa rapidement, et il ne restait que quinze minutes avant l’entraînement.
Aurore : Arceus nous a dit de nous faire beau… Red : Ben je suis beau, nan ? Aurore : Mais je n’ai rien dit…
Rayquaza passait devant leur porte, pour se diriger vers la salle d’entraînement. Ayant entendu fortuitement la conversation, il ne put s’empêcher de dire :
« C’est bizarre, l’amour, quand même. »
Pendant ce temps, Marine essayait elle aussi son équipement. Il y avait également un petit mot :
« Cet équipement marin est réservé à Marine. Il comprend tout un équipement marin ainsi qu’un équipement de combat. Sur cet équipement de combat, il y a des parties d’armures, un peu difficiles à enfiler dès le début. Il y a également une fiche contenant quelques techniques de combat. Timo n’a pas son équipement maintenant. »
Timo : Même pas mon équipement maintenant… Pas juste. Marine : Arrête de râler et aide-moi à enfiler ma tenue de combat… Gnnniiiii… Timo : Normalement, pour mettre une armure, faut déjà la mettre puis l’attacher. Marine : Ah euh… oui.
La fille aux cheveux bleus essayait désespérément d’enfiler sa tenue de combat sans y arriver. Pendant qu’elle peinait, Timo écoutait de la musique, son bon remix adoré. Voyant que la fille n’y arrivait vraiment pas, il l’aida. Et ça alla tout seul, cette fois. Marine commença à rougir.
Timo : Ben pourquoi tu rougis, t’as chaud ? Marine : Je euh… erf…
Une fois l’heure et les quinze minutes passées, tous les adolescents allèrent au lieu de rendez-vous. Girénié avait l’air vraiment énervé (comme d’habitude) et avait le contour des yeux tout noir. Il regardait Timo comme s’il voulait l’étriper.
Girénié : Toi, tu sais qu’avant la fin de cet entraînement tu mourras ? Timo : T’as l’horoscope intégré, en plus ? Mais je ne crois pas à ces trucs.
Marine commençait à s’énerver. Elle en avait marre que ce démon à deux ronds embête Timo, qui n’avait (presque) rien fait.
Marine : Arrête un peu de le faire chier ! Girénié : Oh… le joli couple qui veut me faire face. Timo : Tu vas avoir l’interface brouillée si tu continues.
Rayquaza, ayant remarqué la dispute, intervint aussitôt. Giratina les regardait d’un œil interrogateur. Il se demandait si il devait lui aussi agir dans cette affaire. Mais Arceus le coupa dans ses pensées.
Arceus : Vous avez chacun reçu un équipement. Ce… Red, coupant subitement la divinité : Eh ! Pas moi ! Timo : Moi non plus. Girénié : A part vous, tout le monde en a reçu. C’est que vous êtes trop faibles… Red : EH ! T’arrêtes, oui ?! Arceus : Je peux vous aider ?
Les garçons énervés se calmèrent tout de suite. Arceus pouvait continuer.
Arceus : Oui, bon. Je disais que tout le monde avait reçu un équipement. Mais si Red, m’avait laissé continuer, j’aurais pu confirmer que vous n’avez rien reçu… Pour la simple et bonne raison que Rayquaza et Groudon sont en retard sur la confection. Rayquaza et Groudon : Euh… Arceus : Justement… Groudon, ayant peur de ce type de représailles, s’est empêché de donner l’épée à Timo… en ayant oublié un petit détail. Je peux tout savoir en ce lieu. Groudon : Euuuh…
Les autres légendaires pouffèrent de rire en silence. Groudon était vraiment tête en l’air, des fois. Concernant Rayquaza, ce dernier n’avait encore rien dit à propos.
Rayquaza : En fait… Je n’ai pas pu trouver le métal nécessaire à la confection des armes. J’ai tout le reste, mais… les armes ne sont pas encore prêtes. Arceus : Ce n’était que ça ? Tu aurais pu me demander. Rayquaza : C’est juste que je m’y suis pris un peu tard et… Arceus : Pas de raisons. Et toi, Groudon, qu’as-tu oublié ? Groudon : L’armure. Il s’agit du même métal que celui que Rayquaza recherche.
Les autres légendaires n’avaient pas eu affaire au même métal, mais quand même… Il pouvait faire un peu d’efforts, même si ce métal est vraiment introuvable.
Arceus, en soupirant : Je vais terminer mon annonce, puis nous verrons cela après. Donc, je disais que vous avez tous reçu votre équipement. Ce matin, vous allez apprendre à vous en servir, et c’est votre légendaire lié qui vous apprendra cela. Votre tenue de combat possède différentes caractéristiques que vous devrez exploiter. Votre arme possède aussi différentes caractéristiques. Mais vous vous en rendrez compte bien assez tôt. Sur ce, je vous laisse vous entraîner pendant que je règle ce problème.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Arceus emmena les deux humains et les deux légendaires pour finir la confection de leur équipement. Ce dernier alla dans sa réserve personnelle prendre un peu de ce métal tant convoité par nos deux légendaires. Ceux-ci en prirent un bon bout et retournèrent à la forge de la base, terminer leur travail. Pendant ce temps, Red et Timo retournèrent dans la salle d’entraînement… et quel entraînement… Tout le monde était en sueur, même les légendaires. Ceux-ci avaient vraiment chaud, à force d’entraîner leur protéger. Les deux arrivants allèrent voir leur compagne de chambre.
Marine : Et…. YAAAAH ! Et alors ? Timo : Arrête-toi un peu, tu… Marine, coupant Timo : Nan… Gniiii… ça va… Yah ! Alors ? Timo : Ben ils sont retournés à la forge, on devrait tout recevoir d’une seconde à l’autre.
Du côté de Red et d’Aurore, ce fut les mêmes questions :
Aurore : Alors ? YAH YATA ! Red : Ben ils sont à la forge. Mais pourquoi tu loupes Célébi, en fait ? Aurore : J’essaye de l’avoir mais… YAH ! J’y arrive pas. Red : Tu permets que j’essaye ? Aurore : Oui, vas-y.
Mais dès que Red prit la lame de la fille, il reçu une grosse décharge dans son bras tant qu’il ne lâcha pas la lame.
Red : C’est quoi ce bordel ?! Célébi : Hihihihi ! Il n’y a que toi, Aurore, qui puisse porter cette lame. Aurore : Mais pourquoi ? Célébi : Arceus te l’a dit tout à l’heure, c’est l’une des caractéristiques. Tu es la seule pouvant porter cet équipement. Red : Fallait prévenir plus tôt… Arg…
Un quart d’heure s’était écoulé quand les deux légendaires tant attendus par nos deux adolescents vinrent enfin. Red avait deux griffes confectionnées avec un métal inconnu… il s’agissait de deux griffes s’enfilant comme des gants, mais les mains de Red étaient trop grosses.
Red : Beuh… C’est trop petit. Rayquaza : Tss… C’est parce que… Groudon, coupant inopinément le dragon vert : CHUT ! Rayquaza : Ah oui, c’est vrai.
Timo, lui, avait une tenue rouge avec des morceaux d’armures. En fait, l’armure était forgée dans le même métal que celui utilisé pour les griffes de Red. Les épaulières, le plastron et les jambières étaient fait dans ce métal. La tenue était en partie dorée, avec des traces de rouge par-ci par-là.
Pour ceux qui n'aurait pas compris : Je peux pas poster en un seul morceau xD | |
| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:37 | |
| - Spoiler:
Red : Et comment je fais pour m’entraîner, avec ça ? Timo : Ben Rayquaza allait te le dire, quand il a été coupé par Groudon. Rayquaza : Moi ? Je n’ai rien dit. Bon, il faut que vous vous entraîniez. Groudon : Timo, viens par ici.
L’entraînement reprit dans un torrent de sueur. Mais Girénié tourna sa tête vers Timo, qui fut surpris des techniques qu’il utilisait. Timo se défendait très bien contre Groudon. Il esquivait tous ses coups, il contrait même, des fois. Il maniait son épée sans vraiment de légèreté, mais ses coups étaient puissants.
Timo : C’est le moment ! GREAT ETHEEER !!! Red : Hein ?
Timo balança son épée en l’air puis sauta… il ne s’était rien passé. L’épée retomba dans les mains de Groudon, qui ne savait pas vraiment ce qu’il s’était passé. Tous les autres adolescents avaient détourné la tête, en particulier Red.
Red : Tu pensais que ça allait marcher, la première fois ? Timo : Bah… ouais.
Arceus, lui aussi surprit par le cri qui ne fit pas de ravages, arriva dans la salle.
Arceus : Timo… tu as tenté quelque chose qui demande un peu trop de fluide antique pour tes débuts. Déjà, rien que ta transformation va t’essouffler plus que tu ne le crois. Timo : Fluide antique ? Transformation ? C’est quoi tout ça ? Arceus : Eh bien… tu verras.
Il reparti sans dire un mot de plus en disant à Timo de venir le voir. Tous les adolescents reprirent ensuite leur entraînement jusqu’à midi, heure du repas. Les adolescents et les légendaires étaient complètement épuisés et voulaient vraiment se reposer. Enfin… tout le monde sauf Red, qui n’arrivait pas à enfiler ses griffes.
Red : J’ai toujours pas trouvé comment on les enfile. Rayquaza : Ben moi non plus. Red : T’arrête de te moquer de moi ? Rayquaza : Bah euh…
Tous les adolescents mangèrent un petit moment, sans trop se bourrer. Il restait quand même le maniement des armes, à apprendre. Arceus, après avoir ramené Timo qui semblait bizarre, remonta sur son estrade, puis forma les groupes :
Arceus : En premier lieu, vous aurez le groupe des épéistes. Il regroupera tous ceux qui manient des épées ou des lames, tel qu’Aurore, par exemple. Vous aurez ensuite de groupe des combattants au « corps à corps ». Contrairement aux épéistes, eux utilisent leurs poings, comme Red, par exemple. Red : Bah oui mais je peux pas enfiler ces machins. Arceus : Tu comprendras pourquoi ce soir. Mais je vais tâcher de te faire passer le test avant les autres, vu que ton cas est spécial.
Une fille se leva. Elle semblait plutôt jolie et avait une robe rouge qui s’arrêtait jusqu’à ses cuisses. Ses seins et ses épaules étaient sous une partie blanche de la robe. Elle avait un tissu blanc au niveau de sa bouche, mais qui ne l’empêchait pas de parler, comme on a pu le constater. Elle portait un serre-tête de la même couleur. Elle portait des chaussures rouges et blanches qui semblaient flotter sur le sol. Elle combattait au corps à corps, utilisant des poings de la même couleur que sa robe.
Arceus : Oui, que se passe-t-il, Litia ? Litia : Pourquoi est-il spécial ? Qu’à-t-il de plus que nous ? Arceus : Il est… comment dire… hum… Litia : Je verrai plus tard, c’est ça ? Arceus : Oui.
D’après ses vêtements, on pouvait deviner qu’elle était liée à Latias. Elle avait même un sacré tempérament. Red devait ensuite suivre Rayquaza et Arceus, qui l’emmenaient dans une autre salle. Mais avant de partir, la divinité dit aux adolescents :
Arceus : Les légendaires vont vous conduire aux salles d’armes.
La divinité partit, laissant les adolescents aux griffes des légendaires restant. Ceux-ci séparèrent les séparèrent en deux groupes, comme Arceus l’avait suggéré. Ironie du sort, Girénié et Timo furent dans le même groupe. Justement, Groudon, en voyant ce malencontreux hasard, eu de la sueur s’écoulant de son front. Qui sait ce qu’il pouvait bien arriver ? Red, pendant ce temps, suivait Arceus sans dire un mot. Le dieu avait l’air sérieux, ainsi que Rayquaza. Ils arrivèrent peu après en face d’une petite porte protégée par deux gardes. Au-dessus de l’entrée, il y avait l’inscription « Salle de transformation », ce qui surpris un peu Red. Allait-il être le cobaye d’expériences complètement horribles ? Il n’allait pas tarder à le savoir. D’autant plus que Rayquaza et Arceus ne tournèrent pas une seule fois la tête vers lui. C’était plus qu’inquiétant… Groudon et d’autres légendaires, responsables des épéistes, n’eurent aucun problème à séparer les deux rivaux. D’autant plus qu’ils se montrèrent plutôt coopératifs.
L’entraînement commença un peu plus tard, après diverses explications et après la répartition des groupes. Marine et Timo furent ensemble, chacun étant déterminé à battre l’adversaire. Au début, chaque binôme devait s’entraîner chacun de son côté. Mais après, les entraîneurs voulurent qu’ils montrent leur technique de combat devant les autres. Marine fut elle-même surprise par ce qu’elle avait vu de Timo…
Latios : Pour commencer, le binôme de Timo et de… Girénié, coupant le Pokémon éon : Et moi. Je veux voir ce que ce minus vaut. Timo : Tu veux te faire ratatiner ? Girénié : Tu me fais rire. Tu crois vraiment que tu peux me battre ? J’en ai même fait envoyer un à l’hosto de la base. Timo : Ah, vraiment ? Si t’y est attaché tant que ça, à cet hosto, je peux t’y envoyer.
Groudon et Latios commençaient à s’affoler, ainsi que les autres légendaires. Qu’allait-il se passer ? La réponse n’allait pas tarder à se faire savoir. Tout d’un coup, Girénié sorti sa lame faite d’ombre pour la mettre sous le cou de Timo… sans y arriver. Ce dernier la contra avait son épée qui apparut directement dans sa main, l’arme étant entourée par des flammes.
Girénié : Mais… co… comment fais-tu ça ?! Timo : Il est encore temps d’abandonner, si tu ne veux pas te prendre une de ces raclées… Girénié : Moi ? Abandonner ? Mais tu rêves, avorton ! Timo : Tout de suite les grands mots. Girénié : TU VAS VOIR !
Il lança une offensive contre le garçon habillé en rouge, qui restait décontracté. Girénié tenta de lui planter son épée dans son ventre, mais une sorte de plaque de métal empêchait la lame de rentrer.
Timo : Ah. Ca passe pas. Girénié : ENFOIRE ! TU AS PREVU CA ! Timo : De quoi ? De me faire planter une épée dans le ventre ? Pas trop, nan. Girénié : Mais alors… qu’est-ce que c’est ? Timo : C’est mon secret à moi. Girénié : Puisque c’est comme ça…
Girénié lança un nouvel assaut, tentant cette fois de trancher la tête de son ennemi. Mais il ne réussit pas, Timo l’ayant esquivé.
Timo : Maintenant que tu as fini de faire le boulet, je peux lancer mon attaque ? Girénié : GRRRR !!! JE VAIS T’AVOIR !!!
Pas trop, nan… Timo lança son épée en l’air, projetant Giratina avec elle avant de sauter. Puis là, ce fut le carnage total : Girénié se fit assaillir, que dis-je… mitrailler de coups d’épée extrêmement puissants. Une dizaine de seconde plus tard, Timo, ayant déjà martyrisé de coups sa victime, l’emmena violemment au sol, que Girénié percuta la tête la première. Il finit ensanglanté et tomba dans les pommes.
Timo : Ca c’était le Great Ether. Quelqu’un veut le tester ?
Ils reculèrent tous d’un pas, leur visage montrant de la frayeur. Ca suffisait déjà comme ça, ils en avaient déjà assez vu avec la pauvre victime de Timo, enfin Girénié.
Groudon : Timo, tu as développé ton fluide antique ? Timo : Ouaip. Après de longues explications d’Arceus, j’ai enfin compris ce qu’était ce truc. Et c’est plutôt génial. Latios : Tu le maîtrise plutôt bien pour un débutant. En revanche, il faudrait emmener Girénié à l’hôpital de la base. Je crains qu’à l’infirmerie il n’y ait pas ce qu’il faut. Marine : Alors c’est ça un Great Ether… Timo : Ouaip. C’est assez compliqué à manier. Pour l’instant, je ne maîtrise que celui-ci.
Pendant ces évènements plutôt déplaisant pour la victime de Timo, Red était assis sur une chaise, en train de se faire injecter quelque chose par seringue. Red était sous une camisole de force et hurlait comme un malade, ayant une peur bleue des seringues. Arceus avait vraiment tout prévu. Il commença le traitement avec sa première seringue. Une seringue assez grosse, d’ailleurs. Justement…
Timo : La seringue a fait un de ces trous… En plus ça fait mal. Groudon : Ah bon ? Timo : Ouaip, regarde.
Timo enleva son tee-shirt, montrant sa musculature « impressionnante ». En fait, ce qui intéressait plutôt les autres élèves étaient plusieurs trous fait dans l’épaule de Timo. Il y avait quatre… non… cinq trous assez gros. C’était une grosse seringue, effectivement…
Red se fit piquer une première fois, Arceus lui injectant un liquide rouge dans le sang. Sur le flacon était marqué : « Rayquaza », rien d’autre. Peu après, la divinité prit un autre flacon pour le mettre sur une autre seringue. Sur ce second flacon, il y avait marqué : « Combinaison humain/légendaire ». Pour Red, tout cela semblait mystérieux. Rayquaza, pendant les diverses piqûres de Red, préparait un verre contenant un produit qui provenait d’un flacon nommé « Anesthésiant », mais Red ne le savait pas. Après déjà deux piqûres, Red semblait assez mal ; il voyait double et avait la tête qui tournait. Il se sentit un peu mieux lorsque le dragon vert lui donna le verre de liquide, contenant de l’anesthésiant et un autre produit, sans doute un calmant. Peu après, Red s’allongea pour se reposer un peu. Pendant qu’il dormait, Arceus lui fit une troisième piqûre d’un produit qui avait l’air assez dangereux, déjà, rien que la couleur. C’était un produit vert fluo. Tout d’un coup, Red se sentit vraiment très mal.
Arceus : On lui fait une perfusion, c’est le moment. Mets la dose d’anti-douleur. Rayquaza : Ok chef !
Rayquaza obéit promptement à l’ordre d’Arceus puis mis le cathéter (une aiguille que l’on met dans une veine lorsqu’on fait une perfusion) en faisant soin de ne pas faire mal à Red, qui était de plus en plus mal. Lorsque le dragon vert fit écouler le liquide de la perfusion, le garçon piqué de partout se sentit un peu mieux, voire beaucoup mieux. Arceus lui fit une quatrième piqûre où, sur le flacon, était marqué : « Sang divin ». On pouvait tout de suite deviner à qui appartenait ce sang, bien qu’il soit injecté à Red en petite dose. Juste après cette avant-dernière piqûre, la divinité lui fit la cinquième piqûre, la dernière. Sur le flacon contenant une substance étrange était marqué : « Pouvoir du ciel ». Sans doute que Red allait hériter des mêmes talents, ou presque, du dragon vert à côté de lui. Lorsque tous les liquides furent intégrés en lui, le garçon poussa un grand cri de douleur. Tous les produits étaient en train de fusionner. Les dents de Red devinrent des crocs, ses bras et ses mains rapetissèrent. Il pouvait maintenant mettre les armes que Rayquaza lui avait données ! Mais bon… Red était en pleine transformation. Son corps devint plus compact et commença à rougir. Des bandes jaunes apparaissaient un peu partout sur son corps. Des cornes apparaissaient aux quatre coins de sa tête. Justement cette dernière prenait la forme de celle d’un Rayquaza. Le garçon en pleine transformation s’évanouit.
Pendant ce temps, dans la salle d’entraînement des épéistes…
Aurore : Dites, je peux me mettre dans votre groupe ? Marine : Ben oui, viens ! Timo : Tu ne risques rien. Je ne te lancerais pas de Great. Ca me démangeait depuis un moment de le faire à Girénié, par contre…
A ce moment, un gros corps de pierre apparu derrière Timo, en train de « biper » quelque chose.
Regirock : Bibibibibip bip bip ! Timo : T’as dit quoi, la cloche de Game & Watch ? Groudon : Il dit que tu devras être prêt pour ta première mission, vu les performances accomplies durant cet entraînement. Timo : Première mission ? En solo ? Groudon : Euh… pas vraiment, non. Tu devras faire tes premières missions avec quelqu’un d’autre. Je te rassure, il ne viendrait pas à Arceus l’idée de te mettre avec Girénié. Et… Marine, coupant subitement Groudon : Je ferais une mission avec Timo ?! Groudon : Non, je suis désolé. En revanche, Timo, tu découvriras bientôt avec qui tu vas faire équipe pour un bon bout de temps. Timo : Ah.
Les légendaires présents dans la salle ramenèrent tous leurs élèves quand la voix d’Arceus se fit entendre dans des haut-parleurs :
Arceus : Timo doit se rendre immédiatement à la salle de transformation. Timo : Alala… J’espère que c’est terminé mon processus de transformation…
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| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:38 | |
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Le reste des élèves furent stupéfaits par ce qu’ils venaient d’entendre : transformation ? Processus de transformation ? C’était quoi tout ça, nom de nom ? Timo obéit à l’ordre en allant à la salle où il avait pu se transformer pour la première fois. C’est alors qu’il vit Red allongé sur un lit, en train de dormir. Mais il n’était plus humain… C’était un Rayquaza rouge.
Arceus : Je pense que je n’ai pas besoin de t’en expliquer davantage. Dès que Red sera rétabli, vous partirez en mission tous les deux. Timo : WAOUH ! Et c’est où, notre première mission ? Arceus : Pour vos débuts, je n’ai pas choisi trop compliqué. Un groupe de scientifiques ainsi que des terroristes tentent de créer une armée de Pokémon génétiquement modifiés. Vous devrez détruire leurs installations et leurs projets. Timo : Et on les laisse vivants ? Arceus : A vous de voir. Des vies comme celle-là ne m’intéressent pas. Mourir leur permettra de réfléchir, mais vous faîtes comme vous voulez. Tuez aussi les Pokémon génétiquement modifiés. Ils ne doivent pas disparaître dans la nature.
Il fallu une bonne heure pour que Red se réveille, complètement sonné. Mais finalement, ça allait. Il prit un bon verre de limonade puis demanda à Timo :
Red : Timo, tu sais toi aussi te transformer ? Timo : Ouaip. Tu veux voir ? Red : Vas-y.
Timo se concentra. Un halo de lumière blanche l’entoura peu à peu, pour que son corps puisse prendre une autre forme. C’était maintenant un mini Groudon au regard explosif.
Red : Pas mal. Et moi ? Timo : Beuh… bien, aussi. Un vrai Rayquaza rouge. Arceus : Red, je vais t’expliquer votre première mission.
Après diverses explications sur le lieu et les conditions de la mission, les deux garçons allèrent se préparer… sans se douter que quelque chose changera à jamais dans leur vie après cela…
Juste avant de partir, ils préparèrent leurs affaires sous les yeux de leur compagne de chambre. Red prit quelques armes, une tenue de combat ainsi que ses autres parties d’équipement tandis que Timo prit un peu de matériel informatique et enfila sa tenue de combat.
Marine : Vous allez donc à votre première mission ? Aurore : Vous êtes certains que ce ne sera pas trop dangereux ? Red : Ah… non. Blindés comme on est, on ne risque rien. Timo : Surtout qu’on est des monstres de Brawl. On va les massacrer, les ennemis. Aurore : Mais… Et si ils vous massacrent avant ? Red : Euh…
Red ne répondit rien. Les deux garçons partirent peu après cette conversation. Beaucoup plus tard, dans un lieu tenu secret par ceux qui s’y trouvent et y travaille…
Timo : Alors, on fait quoi ? Red : Je propose un truc : on entre, on défonce tout et tout le monde puis on sort. Timo : Euh… ouaip… mais pas top non plus…
Ils optèrent alors pour une solution un peu plus discrète : passer par le toit de la base. Timo alla sur le dos de Red qui se mit à voler vers le haut de la zone d’infiltration. Ils retirèrent ensuite une grille d’aération pour pouvoir s’infiltrer dedans. Quelques minutes plus tard, ils se séparèrent à un croisement en restant en contact par émetteurs radios. Voici quel était leur plan : Timo allait pirater le système informatique de la base tandis que Red allait voir quelles expériences génétiques les scientifiques faisaient. Le garçon-dragon ouvrit la grille puis sauta sur les deux scientifiques sans leur laisser le temps de crier. Il se transforma en dragon puis les mangea tous les deux. Il partit dans la direction où ils allaient. Pendant ce temps, Timo était en train de chercher la salle des commandes. Il dut chercher longtemps pour la trouver, et en plus elle était remplie de garde. Il fallait maintenant éviter qu’ils ne donnent l’alerte. Il ouvrit la trappe du conduit pour se jeter sur les gardes en dégainant son épée. Il y avait en tout quatre personnes dans la salle, sans compter l’épéiste.
Timo : Prepare Yourself ! Garde : DONNEZ L’ALERTE !
Celui qui avait crié ça se fit trancher la tête. Timo coupait les bras aux gardes qui voulaient appuyer sur le bouton d’alarme, du sang se déversant en grande quantité. Il ne fallu que deux minutes à Timo pour se débarrasser des gardiens de la salle. Le garçon sortit ensuite son ordinateur portable pour le connecter à l’unité centrale de la base.
Timo : Ca va faire de la lecture pour Arceus, tout ça…
Il copia puis détruisit les données de la base. Il recontacta Red :
Timo : Red, tu me reçois ? Red : Oui. C’est horrible, les expériences qu’ils font… Mais bon, étant joueur émérite de Resident Evil, c’est juste dégueu. Même le sang qui coule à travers les yeux et les oreilles… ça va, j’en ai vu d’autre. Timo : Horrible ? Pourquoi ? Red : Il y a des corps ouverts où ils insèrent plein de trucs informatiques. Il y a aussi des personnes… liées avec des Pokémon dans des bocaux. Timo : Houlô… J’arrive, t’es où ? Red : Au croisement de tout à l’heure, c’est tout droit jusqu’à la première grille, jusqu’à ce que tu vois des restes de scientifiques. Je suis allé dans la direction du laboratoire. Timo : Je te rejoins.
Le garçon à l’épée remonta dans le conduit pour se diriger vers la direction de Red. Une petite de dizaine de minutes après, il arriva au point où les scientifiques furent le goûter de Red. Timo suivit la direction du laboratoire.
Timo : Pfiou… C’était long… Qui a bouffé les scientifiques ? Red : C’est pas moi. Timo : C’est dégueu… Il bouffe comme un cochon, il y a du sang partout…
Red sifflota en regardant ailleurs avant de se réintéresser au sujet de la mission :
Red : Regarde tout ça.
L’adolescent qui venait d’arriver regarda tout ce que Red lui avait décrit. Et pour lui aussi ce fut une gosse frayeur : ces expériences sur la génétique étaient horribles.
Red : On fait quoi ? On les tue aussi, eux ? Timo : Arceus nous a dit d’éliminer les expériences. Red : Mais quand même… Timo : On ne peut pas faire autrement.
Ils se mirent à détruire la salle ainsi que toutes les installations, en déchiquetant les corps qui se faisaient étudier. Peu après ce carnage, les deux garçons sortirent du laboratoire pour se diriger vers la sortie. Mais sur le chemin…
Red : T’as vu ces petites araignées robotisées ? On dirait qu’elles ont un liquide en elle… Timo : Sans doute un poison ou un truc dans ce genre. Il est tout vert fluo le liquide.
Les deux araignées regardèrent les deux Brawleurs de leurs yeux à infrarouges. Elles se jetèrent ensuite sur chacun d’eux. Celle qui se jetait sur Red avait des bords roses. Ses pattes devinrent des aiguilles qui se plantèrent dans le bras du garçon qui pouvait se transformer en Rayquaza. Ce fut le même traitement pour Timo, sauf que l’araignée qui l’attaquait avait des bords bleus sur elle. Une fois vidées de tout leur fluide, les deux créatures robotisées se désactivèrent devant les yeux des deux victimes. Qu’est-ce qu’ils avaient reçus en eux ?
Red : Il ne faut pas traîner… Garde : Où est-ce que vous allez comme ça ?
Ils n’avaient pas vus qu’ils s’étaient faits encerclés.
Garde : Vous avez détruit le labo ! Le chef va être furax, houlà… Timo : Votre chef ? Qui c’est ? Laborantin : Mais… cette marque sur vous ! Vous n’étiez pas les cobayes prévus à cet effet ! Red : Des cobayes ? Laborantin : Ces araignées ne vous étaient en aucun cas destinées. Il y a une grosse erreur dans l’équation. Je n’avais pas prévu ces deux inconnus… Gardes : Ne t’en fait pas pour tes inconnus, on va te les pulvériser. FEU !
Tous les autres gardes tirèrent sur Timo et Red, qui se prirent des balles dans le ventre, le bras ou les jambes. Timo finit à terre, ne pouvant plus se relever tandis que Red faisait de son mieux pour esquiver. Le dragon rouge lança des Ultralaser en série sur les gardes. Timo fut sonné lui aussi.
Timo : Arg… j’ai des balles partout… Red : Tu peux te lever ? Timo : Ouaip, mais on… on doit faire vite. S’ils sont prévenus, on va en chier pour sortir.
Les deux garçons coururent à travers la base, détruisant tout ce qu’il se trouvait sur leur passage. Ils réussirent enfin à sortir après avoir laissés des ruines derrière eux ; ils rentrèrent enfin à la base d’Arceus.
Une fois arrivés, ils commencèrent à se sentir mal. Leurs membres s’affaiblissaient et ils avaient une grosse migraine ; pourtant ce n’était pas à cause du voyage. Marine et Aurore se mirent à courir vers leur compagnon de chambre à chacune pour les accueillir.
Red : Je me sens mal… Timo : Ouais… moi aussi… Marine : Sans doute la mission. Vous devez être fatigués. Allez vous reposer… Red : Bonne idée. Juste avant, je vais aller à l’infirmerie prendre quelque chose. J’ai une migraine atroce. Aurore : On va vous accompagner.
Les filles prirent les deux garçons pour les transporter vers l’infirmerie.
Infirmière : Mais que m’amenez-vous là ? Ils ont l’air vraiment patraques ces deux garçons. Ce sont ceux qui sont partis en mission ? Marine : Oui. Ils ont dû attraper un petit quelque chose en vol. Infirmière : Vu dans l’état où ils sont, cela m’étonnerait que ce soit un « petit quelque chose ». Timo, enlève ton tee-shirt. Il y a du sang qui coule.
Il acquiesça la demande de l’infirmière puis enleva ce qu’elle lui avait demandé d’enlever. Et là, toutes les filles présentes dans la salle poussèrent un cri d’effroi : Timo avait reçu des balles, pas mal de balles dans le ventre et saignait beaucoup. Marine et Aurore, qui étaient en train de pâlir, sortirent de la salle pour s’allonger un peu. C’était ça, les missions ? On se faisait toujours canarder comme ça ? Arceus fut alerté quelques instants après. La première mission avait mal tournée, et le résultat était assez dramatique… enfin pour l’instant, car ce n’était que le début. Le début du changement de la vie des deux garçons… Le dieu arriva en trombe, assez affolé parce qu’il venait d’entendre à propos de Timo et de Red. Il se mit à réfléchir… Peut-être que cette première mission n’était pas adaptée… Peut-être était-elle trop risquée. Mais il sortit rapidement de ses pensées par le résultat d’analyses que venait de lui faire parvenir l’infirmière. C’était catastrophique. Il allaient bientôt mourir… mourir à petit feu.
Timo : ARRRG… Je me sens mal… je sens un truc qui me brûle le ventre… Red : Moi… aussi… ça fait mal… Arceus : …
Arceus ne pouvait rien leur dire. La situation étant déjà assez dramatique, il ne fallait pas qu’ils sachent qu’ils allaient mourir. Avant de partir, la divinité ordonna à l’infirmière d’essayer par tous les moyens de trouver un antidote. A croire ses dires, ces deux vies-là intéressaient vraiment le dieu.
Pendant ce temps, les deux filles alertaient les légendaires liés aux deux malades. Groudon et Rayquaza furent affolés, eux aussi. Ils retournèrent tous à l’infirmerie où l’infirmière tentait l’impossible pour essayer de soigner les deux garçons.
Rayquaza : Alors, qu’est-ce qu’ils ont ?
L’infirmière leur tendit le résultat des analyses. Rayquaza s’évanouit tandis que Groudon fut statufié. Les deux filles prirent la feuille et la lisèrent à haute voix :
Marine : Résultat des analyses : Timo et Red souffrent d’une septicémie à un stade très avancé. C’est quoi cette maladie ? Infirmière : Une maladie que seuls vous pouvez avoir. Si on vous injecte du sang d’un autre légendaire ou d’une autre personne comme vous, c’est-à-dire hybride, vous pouvez vous retrouver avec cette maladie très dangereuse. Aurore : Et quels en sont les symptômes ? Infirmière : La septicémie est une infection généralisée à tous les organes du corps. C’est quasiment incurable… Marine : Donc ils vont mourir ? Infirmière : C’est probable. Et là, ils souffrent grandement.
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| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:39 | |
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Au même moment, Arceus entra dans la salle réservé à chaque légendaire et à son humain lié. Il alla voir Dialga qui était en train de faire sa toilette en se léchant les pattes.
Arceus : DIALGA ! Dialga, affolé : Euh… oui ? Arceus : Pourquoi as-tu donné ton sang à ces humains ?! Dialga : Mais, ce n’est pas de ma faute… Lors de l’attaque de mon ancien domaine, les Colonnes Lances, le groupe de ce type m’en a prit. Arceus : Je sais pas si te rend compte de ce que cela a engendré. On a deux humains de chez nous au tapis, et sur le point le mourir ! Dialga : Et qui ont reçus mon sang ? Arceus : Il n’y en a qu’un, et c’est Timo. Red a reçu le sang de Palkia que je vais m’empresser d’aller voir. Toi, tu viens dans ma salle dans un quart d’heure !
L’être divin était vraiment énervé. Comme il le dit quelque instant plus tôt, il alla voir Palkia qui était lui aussi en train de faire sa toilette. La porte s’ouvrit très violemment.
Arceus : Toi aussi tu donnes ton sang à ces humains ?! Palkia : Euh… c’était durant l’attaque des Colonnes Lances et… Arceus : Je ne veux pas le savoir ! Dans moins de vingt-trois heures, Red et Timo mourront ! Palkia : Mais comment j’aurais pu savoir, moi ? Arceus : Rendez-vous dans ma salle dans dix minutes.
Les deux malades se sentaient de plus en plus mal. Il ne leur restait qu’une journée à vivre. Une journée difficile… Les deux filles étaient à leur chevet pour tenter de trouver quelque chose, elles aussi, sans trop y croire. Mais comment pourraient-ils s’en sortir ?
Dix minutes plus tard, Dialga et Palkia allèrent dans la salle d’Arceus. Ils avaient l’air un peu terrifiés, car c’est vrai qu’ils s’étaient fait avoir vulgairement dans le passé. Passé que Dialga ne contrôle plus, maintenant…
Arceus : Je vous ai réunis tous les deux ici pour vous parler de cet évènement dont vous vous rappelez bien. Dialga : Mais… maître Arc… Arceus, coupant la créature mythique : SILENCE ! A cause de vous deux, j’ai deux humains prêts à mourir, mais ça vous le saviez déjà. On a moins de vingt-deux heures pour trouver une solution, et vous allez vous y mettre. Palkia : On doit faire quoi ? Arceus : Trouver celui qui a créé ce virus injecté aux deux garçons puis lui prendre un antidote. Palkia : Mais la maladie qu’ils ont ne se soigne pas et… Arceus : SI ! Elle peut se soigner. Vous allez donc trouver la solution. Et si vous n’y arrivez pas… Vous serez contraints à fournir vous-même l’électricité de la base pendant mille ans ! Palkia et Dialga : MILLE ANS ?! Arceus : Oui. Dépêchez-vous, c’est un conseil.
Ils s’empressèrent de sortir pour commencer les recherches. Mais ils ne se souvenaient plus de celui qui les avait capturés. En tout cas, il avait l’air d’avoir un rapport direct avec le virus injecté à Timo et à Red.
Dialga : Dilo. Je vais avoir besoin de toi. Dilo : De moi ? Mais pourquoi ? Dialga : Bien que tu ais eu du mal à bien de faire voir dans le classement de la base… je crois en ton potentiel. Ce que je vais te demander doit rester entre nous ainsi qu’entre Palkia et son humaine liée, Plakia. Dilo : Et qu’est-ce qu’on doit faire ? Dialga : Capturer un humain nommé Hélio. Dilo : Euh… qui c’est ? Et où se trouve-t-il ? Palkia : J’ai des informations sur son emplacement. Il se trouve en Île-de-France, dans un coin de la ville de Paris. Plakia : Et je suis prête à en découdre avec lui ! Dilo : Euh… Pas moi… Plakia : Hmpf… Tu resteras derrière, là où c’est le moins dangereux. Dialga : Il ne faut pas le sous-estimer non plus… A l’entraînement, il m’a montré de bonnes choses. Palkia : Mais Plakia, c’est d’une autre trempe. Dialga : Ah ? Tu veux qu’on vérifie ? Palkia : Vas-y, amène-toi si tu l’oses ! Ils se lancèrent un regard noir. Dilo et Plakia tentèrent de les calmer ; la guerre était finie depuis longtemps entre eux.
Dialga : Oui… Nous devons nous calmer et tenter de trouver une solution à ce problème. Palkia : Les humains… sans prévenir personne, vous pouvez arrêter Hélio ? Dilo : Euh… Plakia : Oui ! On va lui montrer qui est la plus puissante !
Dilo était assez mou, contrairement à Plakia. D’ailleurs, cette dernière avait un peu changé son équipement : Elle avait un peu plus de morceaux d’armure et avait une grande lame, plus grande qu’une épée. Elle avait également un bouclier circulaire. Dilo, quant à lui, portait lui aussi des morceaux d’armure et avait une longue épée aux couleurs de Dialga. Il n’avait pas de bouclier, par contre.
Dialga : Si Arceus est au courant de ça… glups… je préfère ne pas y penser… Dilo : Ne vous inquiétez pas, on va faire vite. Mais comment va-t-on faire pour aller rapidement à Paris ? Plakia : Mon armure dispose d’ailes rétractables. D’après ce que Palkia m’a dit, elles ont fusionné avec mon ADN. Je peux les déployer et les utiliser quand je le veux. Dialga : Mais je me souviens que ceux qui accompagnent Hélio ne sont pas vraiment très amicaux… Faîtes attention à vous. Dilo : Euh… oui…
Pendant ce temps, à l’infirmerie…
Arceus : Demain matin, ils seront morts. Comment vous débrouillez-vous ? Infirmière : Je fais mon maximum… mais je ne vois pas comment réparer ça… Marine : Pourquoi le virus leur fait autant de mal ? Et pourquoi sommes-nous les seuls à pouvoir l’avoir ? Arceus : Eh bien… Un jour, une personne est venue sur les Colonnes Lances pour capturer Dialga et Palkia. Mais cette personne a juste réussi à prendre un gros échantillon de leur sang. Sang qui coule dans les veines des deux garçons, et qui les détruira. Le sang d’un autre légendaire que celui lié à chacun d’eux peut les détruire. Aurore : On peut faire quoi ?
Arceus se mit à songer… lui-même ne savait vraiment pas quoi faire. Il y avait bien une solution… mais risquée. Et cette solution, c’est ce qu’avaient tenté Palkia et Dialga.
Arceus, hébété : Mais qu’est-ce que je pense, moi ? C’est beaucoup trop dangereux et inutile. Pourvu qu’ils trouvent une solution, eux aussi…
Oui. Et cette solution était la solution la plus dangereuse. Plakia emmenait Dilo sur son dos, et allaient à une grande vitesse. La base d’Hélio n’était pas camouflée ou mise dans un endroit inaccessible, au contraire. Elle dominait son point, et mesurait la moitié de la tour Montparnasse. Des gardes faisaient des rondes, rendant l’accès à la base impossible.
Dilo : On fait quoi, maintenant ? Plakia : On défonce les gardes de l’entrée, on explose la porte puis on embarque le chef. Dilo : Euh… J’suis pas vraiment d’accord pour cette solution… Plakia : Tapette… YAAAH !
La fille en rose sauta du toit de la base (et atterrit grâce à ses ailes, hein) pour décapiter deux gardes d’un coup de lame bien placé. Elle coupa un autre garde en deux, laissant les organes sortir, ensanglantés. C’était radical, comme solution. Les gardes qui tentèrent de donner l’alerte furent transpercés par la lame de Plakia. Elle avait un sourire sadique sur son visage, tout en léchant sa lame ensanglantée. Sa bouche était entourée de sang. Dilo était effrayé par le spectacle qu’il voyait. Pourquoi faisait-elle ça ?! En plus, le garçon se sentait moins en sécurité, maintenant. Et justement, la fille remonta sur le toit pour emmener Dilo vers l’entrée. Dès qu’elle se posa sur le toit, elle essuya la bouche avait son bras puis le montra au garçon apeuré :
Plakia : Tu vois, ce sang ? C’est le sang de mes ennemis… Tous mes ennemis me laissent leur sang. Non, je ne suis pas une vampiresse… mais j’aime voir le sang de mes ennemis couler sur moi. Ca permet de leur montrer, même morts, qu’il faut me respecter et faire tout ce que je dis… n’est-ce pas, hum… Dilo ? Dilo : Ou… ou… oui…
Elle passa sa main sur les lèvres du garçon en bleu, lui mettant un peu du sang qui restait dessus.
Plakia : Toi, je ne te ferais rien… Tu n’auras rien à craindre. Enfin… tu n’auras rien à craindre tant que tu ne tenteras rien contre moi. Me suis-je bien faîte comprendre ? Dilo : Ou… oui… Plakia : Allez, je t’amène en bas.
La fille emmena Dilo en bas sans aucun problème. Le garçon avait le cœur qui battait très vite, et savait qu’il ne fallait pas énerver la fille. Il allait l’écouter et lui obéir. De toute façon, il ne pouvait faire que ça… vu son faible niveau de combat. Ce garçon était plutôt spécialisé dans les domaines chimiques et mathématiques.
Plakia : Tu sais te battre ? Dilo : Euh… pas trop… mais je peux faire pas mal de chose si je trouve des éléments chimiques ici. Plakia : Toi tu es le cerveau et moi les muscles. Ca marche ? Dilo : Euh oui…
Ils rentrèrent tous les deux dans la base pour trouver Hélio. Il était quelque part à l’intérieur, mais ça allait être assez difficile de le trouver : la base était immense. Justement, elle faisait environ vingt étages. Mais logiquement, le chef devait se trouver à son sommet. En revanche, Dilo ne semblait pas favorable à cette idée. Pourquoi se trouverait-il forcément au sommet ?
Dilo : Avant toute chose, il faut aller voir dans le laboratoire de cette base voir si l’on ne trouve pas quelque chose d’utile. Plakia : Bah… les scientifiques sont faibles. On ne devrait pas avoir de problèmes de ce côté-là…
Ils suivirent quelques scientifiques. Ils devaient sans doute se rendre au laboratoire de la base, but des deux intrus. Ces derniers se laissèrent guider par les deux laborantins qui rentèrent dans une salle bien gardée. La fille en rose chuchota à son coéquipier :
Plakia : Tu restes ici, je m’occupe de ces deux gardes. Dilo : Euh… d’accord.
Plakia se mit en position d’attaque ; les gardes ne l’avaient pas vus venir. Ces derniers n’eurent pas le temps de sortir leur arme : la fille les avait embrochés puis retira son épée qui était en eux. Les murs furent rapidement imbibés de sang, ainsi que la tenue de l’attaquante. Elle prit le cœur de chacun des deux gardes puis les explosa dans sa main ; son visage fut ensanglanté du sang de ses victimes. Elle s’essuya avec la tenue des deux morts puis passa un doigt sur son menton pour ensuite délicatement lécher le sang qu’il y avait dessus puis fit de même avec ses lèvres. Dilo sortit de sa cachette.
Plakia : La voie est libre. Dilo : S’il te plaît, tu pourrais arrêter de faire ça ? Plakia : De quoi ? Tu n’aimes pas ma façon de tuer ? Dilo : C’est pas ça… Mais c’est quand tu lèches du sang comme si tu léchais du euh… enfin du vois ce que je veux dire…
Palkia fronça ses deux sourcils, visiblement pas très ravie de ce qu’elle venait d’entendre. Elle prit le garçon par le col et lui mit sa lame sur son cou.
Plakia : Je me fous catégoriquement du sperme et de ces autres choses ! Je fais ce que je veux ! Donc tu vas me laisser faire ce dont j’ai envie ! Et si cela ne te plaît pas, t’as rien à faire avec moi. Dilo : Oui… mais s’il te plaît, lâche-moi, tu me fais peur…
En effet, il semblait visiblement terrifié par le regard de la fille. Il se demandait même pourquoi elle était comme ça. Et il se doutait bien que ce n’était pas son vrai caractère. La fille relâcha sa poigne en détournant la tête. Dilo allait pouvoir rentrer en jeu. Lorsqu’ils rentrèrent dans le laboratoire, tous les scientifiques furent terrifiés de voir autant de sang sur la fille et allèrent tous vers le fond de la pièce ; il n’y avait qu’une seule sortie. Dilo se mit à observer les résultats des laborantins.
Dilo : C’est incroyable. Ils ont créé un produit capable de mélanger les gènes d’un humain avec ceux d’un Pokémon. Non, attends… c’est carrément l’ADN qui fusionne ! Plakia : Grouilles-toi, je veux faire la peau au chef. Dilo : Je fais ce que je peux…
Un scientifique s’avança en tremblotant, pour demander à Dilo et à Plakia :
Scientifique : Êtes-vous ces deux adolescents qui ont investi notre autre base, celle où il y avait les cobayes ? Dilo : Non. Il ne s’agissait pas de nous mais de Timo et de Red. Scientifique : Pourtant… on avait envoyé un produit contenant les sangs de Dialga et de Palkia… Il devait faire fusionner un humain avec un être ancien. Et je crois qu’ils les avaient mis dans des araignées, séparément, pour éviter les mélanges et pour faciliter le placement du sang dans les veines…
Les deux intrus se regardèrent. Ils avaient trouvés ce qu’ils cherchaient. Maintenant, il fallait trouver l’antidote.
Dilo : Eh bien… on cherche l’antidote permettant de supprimer ce sang. Est-ce du sang pur ? Scientifique : Non… C’est du sang mélangé à d’autres produits. Mais il n’y a pas d’antidote… Plakia : QUOI ?!
La fille aux cheveux violets s’énerva violemment. Tout ce voyage pour rien ? Ah non… si c’était ça, alors elle allait vraiment s’énerver contre tout ce qui bouge.
Scientifique : Du calme ! Si vous ne nous faîtes pas de mal, on peut vous trouver un antidote.
Plakia se calma un peu. Dilo lui fit un sourire puis en fit un au scientifique, disant que c’est d’accord.
Scientifique : Donc… Il en faut un pour enlever le sang de Palkia et un autre pour enlever le sang de Dialga. Si notre chef apprend que nous vous aidons… Ca risque de ne pas être beau à voir.
Plakia soupira. Elle ne pouvait pas être à deux endroits à la fois : elle ne pouvait pas aller tuer le chef et rester protéger Dilo et les scientifiques qui travaillaient d’arrache-pied.
Dilo : Vas trouver le chef, je sais me battre, quand même.
Dilo sortit sa grande épée pour la montrer à sa coéquipière.
Plakia : Tu n’as pas intérêt à te faire liquider et tu ramènes cet antidote. Je te rejoins dès que j’ai tué Hélio. Il ne devrait y en avoir pour beaucoup de temps. Dilo : Reviens vivante toi aussi… Plakia : Hmpf… Insinuer que je peux mourir ? Et puis quoi encore ?
Elle partit tuer Hélio avec sa lame encore ensanglantée. Pendant qu’elle faisait son travail, Dilo travaillait avec les scientifiques sur l’élaboration de l’antidote.
Pendant ce temps, dans la base d’Arceus…
Timo et Red : AHHHH ! Marine : Qu’est-ce qu’il leur arrive?! Arceus : Le virus les détruit à petit feu… bientôt, ce sera fini. Infirmière : Ils font quoi Dialga et Palkia ? Arceus : Je ne sais pas. Je vais aller les voir.
Les deux dragons concernés attendaient des nouvelles des deux humains partis en mission. Mais aucune nouvelle… rien, vraiment rien… étaient-ils morts ?
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| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:44 | |
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Dialga : Tu crois qu’on devrait aller voir ? Palkia : Attendons encore un peu. Arceus, en poussant brutalement la porte : VOUS DEUX ! Dialga : Euh… Arceus : Vous deviez trouver un antidote… et vous vous tournez les pouces ?! Palkia : Euh… Enfin c’est que… Arceus : QUOI ?! Ne me dites pas que… Palkia, avec une petite voix : On a envoyé Dilo et Plakia chercher un antidote…
Le dieu retenait sa colère. Il ne devait pas… Non… il devait se contrôler…
Plakia montait les escaliers puis les descendit, sans comprendre où elle allait. Le chef de cette base était bien quelque part, mais où ? En plus, il ne restait que peu de temps pour le trouver avant que Timo et Red ne meurent. Après des heures de vaines recherches, elle retourna dans le laboratoire pour voir l’état d’avancement des recherches. Mais lorsqu’elle s’approcha de l’entrée, elle entendit une voix masculine qui parlait à Dilo.
Dilo : Ces scientifiques ont raison d’essayer de trouver un antidote ! ????? : Oui… Mais je vais devoir tous vous tuer. Personne ne doit sortir d’ici avec un antidote sur lui. Plakia : Ah ? Tu crois ça ?
La fille aux cheveux violets était rentrée dans la salle, sa lame encore ensanglantée empoignée dans une main. Les gardes voulant l’attaquer finirent au sol, le ventre entièrement transpercé. Plakia recommença à lécher sa lame en regardant Dilo avec un sourire pervers. Pourtant… elle avait bien dit qu’elle ne s’intéressait pas à tout ça, nan ?
????? : Beurk… Tu es une vampiresse… Plakia : COMMENT ?!
Elle se mit du sang sur ses lèvres, qu’elle lécha aussitôt. Ce que venait de dire la personne qui lui faisait face ne devait pas être dit. Ce n’était pas une vampiresse ! Elle était juste spéciale, c’est tout.
Plakia : Mais attends… Tu es Hélio, nan ? Hélio : Tout juste… Et je vais vous faire payer votre intrusion ! Plakia : Han ! Et comment tu vas faire, hein ? Hélio : Oh… ça…
Hélio tenait une petite télécommande dans sa main. Lorsqu’il actionna le bouton principal, une porte coulissante s’ouvrit peu à peu pour voir apparaître une silhouette aux yeux de diamants. Il s’agissait en fait d’un humain habillé du même style que Dilo. De l’autre côté, une autre silhouette aux yeux perles s’avança vers le laboratoire. Les deux intrus furent encerclés.
Hélio : Je vais maintenant vous montrer ce que la génétique peut faire, de nos jours… ATTAQUEZ-LES !
Les deux êtres hybrides attaquèrent Plakia et Dilo. La première trancha la fille génétiquement modifiée en Palkia. Elle saignait beaucoup… et elle se reprit un deuxième coup de lame de Plakia. Son ventre était maintenant tranché.
Hélio : VAS-Y ! SPATIO-RIFT ! Dilo : Euh… Donc développons cette équation… Plakia : Mais tu fous quoi ?! Esquive, elle va te toucher !
Mais Dilo n’écoutait pas sa coéquipière. Il continuait ses problèmes de maths compliqués. Plakia planta sa lame dans le ventre de l’autre fille en rose. Cette dernière cracha du sang pour atterrir dans les bras de la fille aux cheveux violets qui eut les mains pleines de sang. Elle la rejeta par terre en lui écrabouillant la tête. Mais le Spatio-Rift continuait sa course malgré la chute de sa lanceuse.
Plakia : BOUGE ! Dilo : Donc… esquive dans π X 34… esquive à gauche !
C’est ce qu’il fit. Le Spatio-Rift s’écrasa tout droit sur l’humain génétiquement modifié en Dialga, tandis que la fille se relevait.
Plakia : Comment ? Elle en veut encore, elle ?
Plakia lui replanta encore une fois sa lame dans le corps, mais cette fois au niveau des seins, et donc du cœur. La victime recracha une nouvelle fois du sang en plein sur le visage de celle qui venait de lui faire cela.
Hélio : QUOI ?! Mais… ce n’est PAS possible ! Plakia : Eh bien tu vois bien que si…
L’homme habillé en Dialga s’était relevé pour concentrer une de ses attaques sur Dilo. Mais l’adolescent arrivait à les esquiver… assez difficilement mais il y arrivait. Plakia se retourna pour venir l’aider. Elle brandit sa lame pour sauter sur l’adversaire de l’adolescente puis celle-ci s’acharna sur lui. Le visage de l’adversaire de la fille habillée en rose fut défiguré. Son corps aussi, d’ailleurs. La fille n’y allait pas de main morte, et sa lame, ainsi qu’elle-même, furent couvertes de sang. Elle n’avait pas été blessée, mais tout ce sang accumulé était le sang de ses adversaires. Dilo fut encore une fois dégoûté… Quand elle eut terminé son acharnement, Plakia se releva pour regarder froidement Hélio. Ca allait être lui la prochaine victime… la prochaine victime de cette machine à tuer. Mais elle devait faire vite. Il ne restait sûrement plus beaucoup de temps et l’antidote était déjà prêt, selon un scientifique.
Hélio : On peut peut-être discuter… non ? Plakia : Non.
Elle sauta vers Hélio puis lui planta sa lame dans son ventre. Elle la retira pour y fourrer sa main et y retirer tout ce qu’elle y trouvait pour après les écraser sous les yeux du chef du groupe. Ce dernier s’écroula au sol quand la fille lui retira son cerveau après avoir fait une fente dans la boîte crânienne.
Plakia : Je pense que l’on a fini avec lui. Les deux antidotes sont prêts ? Dilo : Euh… oui… Plakia : Alors viens, nous rentrons.
Dilo était maintenant terrifié de la fille aux cheveux violets. Et lorsque celle-ci passa sa main sur le cou du garçon, ce dernier sentit une petite sensation de dégoût. Des morceaux d’organes et de cerveau étaient restés.
Plakia : Ca va. Tu n’es pas blessé. On peut y aller… Dilo : Et ce sang, tu ne l’enlève pas ? Plakia : A quoi bon ? Cela nous retarderait et puis ça me donnera de quoi rester en forme. Dilo : Mais… tu aimes le sang ? Plakia : Oui. J’adore voir le sang jaillir de mes victimes et ensuite de m’en régaler. Pourtant, je ne suis pas une vampiresse. En plus, je suis à la lumière. Si j’étais une de ces créatures, j’aurais déjà cramé. Dilo : Logique. Plakia : En parlant de lumière… ne traînons pas, nous devons rentrer à la base.
Elle redéploya ses ailes et prit Dilo, pour qu’ils puissent repartir vers la base d’Arceus.
Rayquaza : Vous ne trouvez pas que ça sent bizarre ? Groudon : Si… Ca pue…
Dilo ouvrit la porte de l’infirmerie en sautant de joie. Ils avaient réussi.
Dilo : On a l’antidote ! Marine : Ah c’est super mais… AHHH !!!
Plakia venait d’apparaître avec tout le sang et les bouts d’organes éparpillés sur elle. Les légendaires furent sous le choc de la voir comme ça. Pourtant, cela ne semblait pas la déranger pour autant.
Dilo passa les deux flacons que l’infirmière déposa dans deux seringues différentes. Elle commença par faire une injection à Red, qui se réveilla peu après. Il semblait bien mieux. La soignante renouvela l’opération pour Timo, qui se réveilla lui aussi. Le résultat des analyses était bien meilleur, aussi.
Timo : Bouah… J’ai mal partout… Mais… euh… c’est qui cette fille pleine de sang ? Plakia : Je me nomme Plakia. Je vous ai sauvé la vie. Red : Ah ben merci…
La fille prit sa lame ensanglantée avant de la lécher devant tout le monde. Visiblement, elle aimait vraiment ça, ce qui fit rigoler les deux malades :
Red : T’es en manque ? Plakia : Pfeuh… Je me fiche catégoriquement de mon plaisir personnel en ce domaine…
Elle partit de l’infirmerie, poursuivie par Dilo.
Plakia : Tu veux quoi ? Dilo : Je voulais te remercier pour ton aide. Plakia : D’accord, ça va. Maintenant tu vas jouer avec les gosses de ton âge. Tu m’as déjà causée assez d’ennuis comme ça.
Dilo fut un peu triste de cette réponse. Elle n’était pas très sociable. Mais à ce point-là, l’insulter de gamin… Ils avaient pourtant été coéquipiers durant une mission entière !
Timo et Red se reposèrent pendant la fin de l’après-midi, pour pouvoir récupérer un peu. Ils étaient quand même passés à deux doigts de la mort. Une mort certaine sans Dilo et Plakia… Lors du dîner du soir, Timo et Red purent être présents pour manger. Plakia avait prit une douche tandis que Dilo restait songeur ; il regardait indéfiniment ce qu’il y avait dans son assiette. Il se disait que malgré les caractères brusques et dégoûtants de son ancienne coéquipière, elle avait quand même un bon fond et n’avait pas hésitée pour le sauver. La fille en question mangeait calmement, regardant ceux qu’elle avait sauvés. Finalement, elle devait peut-être… ou non. Il vaut mieux pas. Quoique…
Luigi : Alors, cette mission, Dilo ? Dilo : Réussie… … Luigi : T’as pas l’air bien. A toi aussi, on t’a intégré un virus ? Dilo : Nan, nan… … Luigi : Bah quoi, dis-moi.
Dilo lui dit dans l’oreille ce à quoi il pensait. Luigi fut surpris.
Luigi : Nan mais attends… Elle, c’est une vraie bête de combat. Cherche une fille qui pourrait mieux te convenir… Celle-la, là… Dilo : Ohna ?
La fille qu’ils regardaient, Ohna, avait des cheveux de couleur arc-en-ciel. Elle portait une longue robe orange à bords jaunes. Ses gants étaient jaunes et rouges, ainsi que ses chaussures. Cette fille semblait maîtriser le feu. Mais est-ce que son tempérament était le même que celui de Plakia ?
Timo : Bon, faut que j’aille vérifier quelque chose. Red : Tu vas vérifier quoi ? On en est même pas au dessert… Timo : C’est important.
Le garçon fraîchement remit sur pieds s’en alla jusque dans sa chambre pour sortir une petite éprouvette où on pouvait voir marqué dessus : « Radianactum ». Il plaça le contenu dans une seringue pour se la planter dans le bras. Lorsqu’il sorti de sa chambre, il remarqua Plakia, adossée à un mur. Elle avait l’air de savoir quelque chose…
Timo : Ah. Plakia… Merci d’avoir trouvé l’antidote pour nous éviter la mort… C’était sympa. Plakia : Justement. Tu m’as vue pleine de sang, tout à l’heure, nan ? Timo : Oui. Pire qu’à l’abattoir… Tu as fait un carnage ? Plakia : En quelque sorte. J’aimerais que tu me fournisses du radianactum. Timo : Que ?! Comment tu es au courant ? Plakia : Eh bien disons que quand tu t’en mets, évite de laisser la porte ouverte. Timo : Tu en veux pour combien de temps ? Plakia : Trois semaines. Timo : Trois semaines seulement ? Et si ça te lâche ? Plakia : Je saurais bien m’en servir. De toute façon, cette affaire ne prendra que peu de temps et n’a que trop duré. Timo : D’accord. Viens me voir demain à l’entrée de la base avec Red. Plakia : Red ? Timo : Oui. On utilise tous les deux ce produit. Mais au fait, pourquoi le sang sur toi, les morceaux d’organes et tout ça ne te gênait pas, tout à l’heure ? Plakia : En fait… comme je l’ai expliqué à Dilo… Quand je tue mes victimes… j’adore les voir souffrir, avant. Leur sang me permet de me souvenir de leur souffrance. Et puis, je ne m’intéresse pas au sexe. Je me contente juste de soulager les pulsions des garçons en manque… oui qui veulent me faire subir des supplices ou autres trucs. Et toi… tu veux profiter de mon corps ?
Timo se mit à rougir. Dans ce cas-là, il ne savait quoi répondre. Allait-il accepter ?
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| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:44 | |
| - Spoiler:
Plakia : Avant toute chose : sache que seuls ceux qui peuvent ou on put profiter de mon corps n’avaient pas le droit de me décevoir. Sinon, je tue. Peu importe de qui il s’agissait. Mais toi… tu me sembles bon… ainsi que ton ami Red. Mais pour l’instant…
Elle se baissa au niveau de l’entrejambe de l’adolescent puis commença à lui enlever son pantalon. Elle vit alors une bosse qu’elle toucha avec douceur et sensualité. L’adolescente abaissa ce qu’il restait de vêtement puis posa sa langue au niveau du gland du sexe du jeune homme. Elle le lécha avec précision et semblait très douce, contrairement à l’apparence qu’elle donnait. Plakia continua de faire ça une bonne trentaine de secondes puis se mit à le branler délicatement. Peu après, elle se releva puis abaissa ses vêtements du bas.
Plakia : Un nombre infime de personnes ont pu avoir cela de mon plein gré. Et je crois même que tu es le premier. Timo : Mais… Pourquoi est-ce que tu m’accordes ça ? Plakia : Parce que tu aurais fait la même chose pour moi si j’étais dans ton cas. Je l’ai vu dans tes yeux. Et j’ai envie de te montrer ma gratitude dans une autre façon que par les mots ou par les gestes… La sensation…
La fille se plaça sur le sexe de Timo puis fit tout le travail. C’était elle qui choisissait le rythme, c’était elle qui avait les commandes. Mais Timo se laissait faire, parce que c’était bon. Elle s’y prenait tellement bien… Elle savait faire ressentir les sensations… Elle était vraiment professionnelle. Cette fille avait beau tuer ses ennemis comme une sadique, elle savait néanmoins récompenser les plus méritants à ses yeux. En plus, son corps était tellement doux, si chaud…
Timo : Han… Mais… je ne comprends toujours pas pourquoi tu me fais ça… Plakia : Tu le comprendras un jour... Tu verras pourquoi je t’accorde cela. Et je ne sais pas comment te remercier pour le produit que tu m’as donné. Timo : Ce n’est rien mais… Plakia : Oui, je sais que c’est facile à trouver, mais à des prix exorbitants… Tandis que tu me le donnes gratuitement. Timo : Mais oui. Ici, nous sommes tous un peu frères et sœurs, non ? Plakia : Huum… Il faut croire.
Ils rigolèrent un petit peu ensemble. Apparemment, elle n’était pas habituée à rire comme cela, à part quand elle fait des rires sadiques. Ils accélérèrent alors la cadence et l’adolescente semblait comblée, malgré son manque de pulsions. C’est alors qu’elle senti un liquide chaud entrer en elle. Mais la fille savait bien que cela ne servirait à rien…
Timo : Oups… Plakia : Ne t’en fais pas, je suis stérile. C’est justement le problème.
Un liquide assez rose et transparent était sur le sexe de Timo. Et ce n’était pas du sperme.
Timo : C’est quoi, ce truc ? Plakia : Il faut que tu l’avales. Timo : Mais… ça va pas ?! Plakia : Je vais t’aider, si tu veux.
Elle se baissa une nouvelle fois, léchant de sexe du garçon pour ensuite embrasser ce dernier, qui fut contraint à avaler la substance rose qui venait de Plakia. Elle recommença plusieurs fois avant qu’il ne reste plus rien.
Plakia : Et si on allait prendre le dessert ? Timo : Là, je n’ai pas très faim… Plakia : J’ai entendu dire que Red était un goinfre… Timo : Ouaip, assez. Surtout sous sa forme dragon.
Ils retournèrent tous les deux, après s’êtres rhabillés, dans la salle à manger où Arceus s’apprêtait à faire une annonce.
Arceus : Que faisiez-vous, tous les deux ? Timo : Je lui montrais Brawl. Arceus : Hum… bien… Bon, vous savez tous que les deux premières missions effectuées ici ont été un succès… bien que la première ait été plutôt ratée sur la fin.
Red et Timo sifflotèrent à ces mots.
Arceus : Le groupe qui créait des humains génétiquement modifiés n’est plus. Nous pouvons maintenant nous atteler à la destruction d’un autre groupe criminel. J’estime que vous êtes assez forts pour des missions à deux. Mais nous allons changer le binôme de Timo et de Red. Marine, tu vas aller avec Timo tandis que toi, Red, tu iras avec Aurore. Pour les autres, Groudon vous le dira. Soyez quand même de retour vivants.
Tous les adolescents allèrent se coucher, vraiment fatigués en une seule journée… Le lendemain matin…
Red : TIMO ! LEVE-TOI OU JE TE BOUUUUUFFE !!! Timo : Ouaaaah !
Il fit une magnifique descente de lit pour atterrir aux pieds de Marine, en train de se préparer.
Timo : Tiens, salut Marine ! Marine : Salut Timo ! Timo : Red… Privilégie le réveil, la prochaine fois. Red : Le réveil ? Bah c’est plus marrant quand c’est moi qui le fais. Au moins, on ne sait jamais de quel côté tu vas t’écraser. Timo : Vraiment très drôle…
Plakia était déjà prête. Elle attendait à la porte avec Aurore.
Timo : On a combien de temps avant de départ ? Red : Deux heures. Je t’ai réveillé tôt pour que l’on fasse notre gym du matin.
Timo rentra le disque de Brawl dans sa Wii. Ils commencèrent tous les deux un combat. Mais ils semblaient avoir oubliés quelque chose…
Timo : Flûte… mon portable sonne. Attends, mets en pause. Allô ? Oui ? Ah, la livraison de rad… d’accord, j’arrive avec Red et une amie. Bon, Red, faudra que je te batte une autre fois, il y a la livraison. Red : Et elle vient avec nous, Plakia ? Timo : Oui.
Ils allèrent à l’entrée de la base récupérer deux cartons.
Timo : Merci pour la livraison, mec ! Camionneur : Ouais ! Et soyez cool, mes amis !
Plakia : Et tu ne payes rien ? Timo : Nan, il nous les refile gratuitement. Prends autant de flacons que tu veux. Red : Pas trop quand même, on en reçoit qu’une fois par mois.
Elle ne prit que quinze éprouvettes sur quarante en tout dans un carton. Les deux garçons prirent les dernières éprouvettes pour les mettre dans un placard.
Red : Il faut que l’on aille voir Arceus pour la mission du jour. J’espère qu’il ne nous enverra pas dans un trou paumé, cette fois. Timo : Faut espérer…
Le groupe des cinq personnes alla voir le dieu.
Arceus : Ah… Vous êtes là. Plakia : Qu’est-ce qu’on doit faire, cette fois ? Arceus : Je vois qu’il manque Dilo… Il sera ton équipier, Plakia. Plakia : ENCORE ?! Mais il ne sait pas se battre… Une vraie tapette… Arceus : Méfie-toi des apparences… Plakia : Pour l’instant, il ne m’a rien montré.
Dilo arriva peu après, tout essoufflé.
Dilo : Excusez-moi d’être en retard… J’avais des choses à faire. Arceus : Trois groupes ici… Bien. Comme toi et Dilo ne semblez pas coordonnés, Plakia, je vais vous envoyer avec un autre binôme : celui d’Aurore et de Red. Comme ça, il n’y aura pas de problèmes. Et puis… Comme ça vous n’aurez pas de problèmes. Timo : C’est bien beau tout ça mais on va où ? Arceus : Tu sembles impatient, mais bon… Alors, pour vous deux… vous irez dans une usine désaffectée pour arrêter un trafic d’armes et de drogue. Marine : Ce ne sera pas difficile. Timo : Surtout que là… Le premier qui me touche je le tranche… Arceus : Oui, euh bon… Vous quatre, vous irez dans une base militaire pour arrêter la création d’une bombe à l’uranium enrichi pour détruire un pays qui ne fait rien… Pour s’approprier peu à peu le contrôle du monde. Plakia : Ah… Je peux les tuer ? Arceus : Vous faîtes ce que vous voulez. Essayez juste de ne pas exploser avec la bombe… Maintenant, disposez.
Ils sortirent de la salle divine pour s’organiser. Timo alla chercher des éprouvettes de radianactum tandis que les autres personnes réfléchissaient à leur stratégie. Lorsque Timo revint, il avait l’air préoccupé.
Timo : Euh… Plakia… T’as prit d’autres éprouvettes de radianactum ? Plakia : Non. Je me contente de ce que vous m’avez donné. J’en ai même deux sur moi. Timo : Quelqu’un nous a piqué un grand nombre d’éprouvettes. Red : Aaaah… C’est pas vrai… Timo : Si. Faut vite qu’on trouve qui a fait ça. Red : Mais d’abord, faut faire notre mission. Bon, on y va !
Les deux groupes partirent chacun de leur côté. Plakia et Red s’envolèrent avec Aurore et Dilo tandis que Timo et Marine optèrent pour la marche à pieds. Ce n’est qu’au bout d’une heure que ces deux derniers purent arriver à leur destination. Pendant ce temps, le groupe des quatre arrivait lui aussi à sa destination.
Red : Wah… Ca m’a l’air bien moderne, tout cela… Plakia : Qui est pour tout défoncer, tout tuer puis tout détruire ?
Cette dernière, Red et Aurore levèrent la main. Mais pas Dilo… qui se prit trois regards noirs. Après une petite panique, il leva lui aussi la main avec un léger soupir, sachant qu’il y avait des risques que la bombe explose s’ils rataient leur coup. Red, pour commencer, planta ses griffes de fer (et Rayquaza lui avait apprit à les mettre sous forme humaine) dans le garde posté devant l’entrée de la base. Le garçon se transforma puis mangea le garde.
Red : Scrontch… Plakia, tu en veux un peu ? Plakia : Oui, passe.
Ils se régalèrent tous les deux devant les yeux pleins de dégoût de Dilo. Il avait hâte que cette mission se termine. Peu après le petit festin, Plakia demanda à Red et l’attendre, puis se mit à égorger un garde avec sa grosse épée. La fille s’acharna sur sa victime, le sang de celle-ci se retrouvant sur l’assassine. Elle se remit encore une fois à lécher son énorme épée avec délice. A voir ce spectacle, on pouvait en conclure qu’elle se régalait… Après une petite séance de léchage de la part de la fille aux cheveux violets, celle-ci et son groupe entrèrent dans la salle… Mais le sang qui recouvrait à moitié Plakia dégageait une forte odeur. Une bien trop forte odeur pour Dilo.
Dilo : Tu pues trop le sang ! Plakia : Ouais ! J’ai beaucoup de sang sur moi, et alors ?! Tu veux que le tien aussi se retrouve sur moi ?! Dilo : Euh non… Pas trop envie, là… Plakia : Alors tu te tais. Red et moi on va vous laisser un passage libre. Aurore : D’accord.
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| | | Rayquaza Administrateur
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| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:45 | |
| - Spoiler:
Les deux adolescents avancèrent en avant pour tuer tous les gardes qui se trouvaient sur leur chemin. Et à chaque fois que cela se produisait… Plakia plantait sa lame dans le ventre de ce dernier tandis que Red le frappait sans arrêt, jusqu’à ce qu’il tombe à terre pour mourir. Et quand cela n’allait pas assez vite, Plakia raccourcissait le temps en planta sa grosse épée dans le crâne du garde. La victime criait… sans que personne ne vienne l’aider. Et la fille se régalait toujours à chaque fois… Il leur fallu une bonne dizaine de minutes pour qu’ils trouvent la salle où était entreposée la bombe. Beaucoup de gardes étaient présents et tirèrent sur Plakia et Red.
Plakia : Planquez-vous ! Laissez-nous faire notre boulot ! Dilo : Ou… oui… Aurore : Vous ne voulez pas qu’on vous aide ? Red : Non ! Ne viens pas là pour rien. Ils risqueraient de te blesser. Plakia : Red… radianactum ? Red : Je pense que c’est le moment.
Ils prirent chacun une seringue, mettant le contenu de leur éprouvette à l’intérieur. Plakia se la planta violemment dans le bras, du sang en sortant carrément. Red, quant à lui, hésitait pour se la planter, ayant une peur bleue des seringues. Mais Plakia intervint : elle prit la seringue de Red d’une main et tint le bras du garçon d’une autre. Elle la planta violemment, comme elle avait fait pour elle. Du sang sortait également du bras du garçon.
Red : AAAH ! Ca fait mal ! Plakia : Pfuh… Dire qu’un garçon a peur des seringues… Red : Et toi ! T’as bien peur de quelque chose, nan ?
La fille aux cheveux violets tourna la tête sans répondre. Visiblement, ça la gênait plus qu’autre chose de parler de ça. Peut-être qu’il y avait quelque chose sous cette grosse carapace… Mais l’heure n’était pas aux bavardages. Des gardes très bien armés tiraient sur les deux adolescents. Et Plakia semblait s’énerver.
Red : Euh ça va ? T’as des problèmes pour emmagasiner le produit ? Plakia : Hahaha… Non… au contraire… hahaha…
Elle prit son petit rire sadique qui effrayait Dilo. Red lui-même fut soudainement prit d’une sensation d’effroi. Cette fille… elle n’était pas vraiment normale… loin de là, même…
Plakia : Maintenant…
Elle prit sa lame d’une main et se dirigea vers un groupe de gardes. La fille pointa sa main libre vers eux… pour ensuite leur envoyer un rayon d’une puissance phénoménale… Ils furent tous déchiquetés et n’en redemandèrent pas : de toute façon ils étaient morts. Red fut assez écoeuré par sa technique de combat, bien que la sienne ne soit pas bien différente. A voir cela, on pouvait presque constater qu’il avait de la concurrence.
Plakia : Alors… tu me montres ce que tu sais faire ou bien je les termine ? Red : Euh… Je vais te montrer !
Il concentra un gigantesque ultralaser qu’il relâcha sur les gardes qui en avaient perdu la tête, et même des membres… enfin ce fut aussi le carnage.
Scientifique : CE SONT DES MONSTRES !
En parlant de monstre… Plakia n’avait pas encore subie la transformation… Seuls Timo et Red pouvaient se transformer pour l’instant, bien que le second était plus sous cette forme qu’en forme humaine.
Dilo : C’est euh… c’est euh bientôt fini ? Aurore : Tu n’as pas à t’en faire… ils contrôlent la situation.
Plakia : Alors ? Vous venez ? Gardes : Euh…
Tous les gardes et tous els scientifiques s’enfuirent. Pendant que la fille en rose léchait sa lame avec délice comme d’habitude et que Red mangeait les gardes grillés qui traînaient, Dilo s’occupait de désamorcer la bombe. Mais il eut un problème assez… euh… comment dire… assez gênant.
Dilo : Alors… fil bleu, vert, rouge ou jaune ? Je penche pour le fil bleu… Aurore : Fil vert ! Plakia : Slurp… fil rouge, comme le sang. Red : Fil jaune ! Comme… euh… comme mon ultralaser !
Dilo ne savait pas quoi faire. Il n’y avait qu’un seul fil qui pouvait désamorcer la bombe. Les trois autres servaient, au contraire, à l’amorcer. Et qui sait quels dégâts la bombe allait pouvoir causer ? Le garçon, un couteau à la main, hésitait à couper chaque fil. Plakia, impatiente et ayant fini de lécher sa lame, intervint.
Plakia : Tu fais chier. Laisse-moi faire.
D’un grand coup de lame, elle coupa tous les fils d’un coup… Ce qui ferma le boîtier de contrôle de la bombe et qui l’activa. Plakia fut un peu gênée d’avoir agi comme ça sur un coup de tête.
Plakia : Euh… j’ai peut-être fait une erreur… Dilo : AH BEN C’EST MALIN !
C’était la première fois que le garçon en bleu s’énervait comme cela. Et également la première fois que Plakia semblait gênée dû à une faute… une faute qui énervait Dilo…
Aurore : Attendez… j’ai peut-être la solution.
C’était la première fois que la fille intervenait durant cette mission. Quelle idée avait-elle en tête ? Eh bien… elle forma une boule verte entre ses deux mains puis la lança sur la bombe… dont le boîtier se rouvrit et où les fils se remirent entre eux. Le compte à rebours fut arrêté.
Aurore : Et voilà. Red : Comment… comment tu as fait ça ? Aurore : Célébi m’a apprise à manier le pouvoir de remonter dans le temps. Le seul problème est que je ne le maîtrise pas complètement et que je ne peux pas le faire globalement. Je peux juste le faire pour des personnes ou des objets. Dilo : Ouf… Donc on peut tester autant de fois qu’il faut pour désamorcer la bombe. Aurore : Euh… je crains que ce ne soit pas aussi simple. Il me faut du temps pour me recharger. Plakia : Combien de minutes ? Aurore : Cent vingt. Plakia : DILO ! Tu te gourres et je t’étripes ! Dilo : Glups…
Dilo paniquait… Cette bombe ne devait pas s’activer… Si cela était le cas… lorsqu’elle exploserait… non, il ne fallait pas y penser ! Aujourd’hui était le jour où la fille en rose pourrait le respecter un peu. Mais l’heure n’était plus aux songes ! Il devait trouver le moyen de connaître le bon fil… Il devait le faire…
Dilo : Bon sang mais c’est bien sûr ! Red : T’as trouvé quelque chose ? Dilo : Oui ! La puce, là, à l’intérieur de la bombe ! C’est elle qui permet de savoir si elle s’active ou non ! Donc… c’est le fil bleu !
Lorsqu’il coupa ce dit fil, la bombe se désactiva d’un coup. Il fallait maintenant s’en débarrasser.
Dilo : Et si on la ramenait à Arceus ? Aurore : Pourquoi pas… Il saurait la détruire. Red : Je la porte pas, débrouillez-vous.
La fille en rose mit sa lame sous le menton de Red, toujours avec son petit sourire sadique. Cette fille… Red avait horreur de se faire avoir comme ça… mais bon… c’est vrai qu’il pouvait bien faire un effort pour une fois.
Red : C’est d’accord, c’est d’accord… j’aide à la porter…
Ils repartirent vers la base d’Arceus, en prenant soin avant tout de bien détruire la base où ils avaient trouvés la bombe. Pendant ce temps, à la mission de Timo et de Marine…
Timo : Bon… alors… par où entrons-nous ? Marine : Par l’entrée, je crois. Timo : Bah oui, mais je suis sûr qu’il y a des gardes partout et… Marine : Regarde-moi.
Elle remit correctement son gant puis se dirigea vers l’entrée, avec un air normal. Lorsque le garde la vie, il ne put s’empêcher de siffloter puis de dire :
Garde : Hey, beauté ! Ca te dirait de venir avec moi, ce soir ? Tu sais… qu’on puisse… Marine : Ah ? Tu viens là que je t’embrasse ? Garde : Comme tu veux, ma belle…
Le gardien s’avança vers Marine puis se pencha vers sa joue. Lorsqu’ils furent ventre à ventre, la fille aux cheveux bleus sortit un poignard et le planta dans la gorge du garde qui saigna beaucoup, avant d’agoniser puis de mourir. L’adolescente ricana un petit peu avant de dire dans l’oreille de l’homme mort :
« Pauvre imbécile… Pour qu’un homme puisse coucher avec moi… Il faut déjà qu’il ne pense pas qu’à vouloir me faire ça. Retiens-le dans ta mort… »
Timo arriva quelques instants après. Il fut quand même surpris que Marine y soit allée si violemment : elle était à la limite de lui couper la tête. Et encore… cette dernière n’était même plus en équilibre sur le cou. L’adolescent s’apprêtait à entrer quand la fille au cheveux bleus le prit par le cou puis le plaqua contre le mur. Elle ressortit son poignard pour le mettre sur le ventre du garçon.
Timo : Hey ! Mais qu’est-ce qu’il te prend, enfin ? Marine : Avant de commencer notre mission, j’aimerais te poser une question… Quelle serait la première chose que tu aimerais faire avec moi ?
Elle le serrait avec plus d’insistance tandis qu’il commençait à être étouffé. Pourquoi elle lui posait cette question ? En tout cas, elle semblait vexée. Timo, en essayant de respirer, lui donna sa réponse :
Timo : Ben… On pourrait mieux se connaître, non ? On n’a pas vraiment eu le temps de discuter depuis que l’on est ensemble… D’ailleurs, j’ai jamais comprit pourquoi il n’avait pas mit un autre garçon avec moi… Marine : Pourquoi ?! Je suis repoussante ?! Timo : Je n’ai jamais dit ça ! Je te trouve très belle, vrai ! Ce n’est pas parce que tu me menaces ou autre… Je te trouve vraiment belle !
Marine le regarda dans les yeux, voyant qu’il ne semblait pas mentir. Elle relâcha son étreinte en prenant soin de ne pas lui faire mal puis rangea son arme. La fille aux cheveux bleus regarda par terre en déversant des larmes. Que lui arrivait-il ? Elle éclata complètement en sanglots ; Timo ne savant pas quoi faire il la serra dans ses bras puis ils s’assirent quelques minutes le temps que Marine puisse se remettre en état.
Timo : Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Marine : Tous les… snif… tous les garçons que je vois veulent me baiser… mais je veux pas, moi ! Il n’y a aucun mec qui me plaisait… et pour cause… ils étaient tous pervers… mais à un point… Timo : Bah… Ca ne m’intéresse pas de faire l’amour avec toi si prématurément. C’est vrai que tu es belle… mais après cela est considéré comme du viol. Marine : Merci… Merci.
Elle embrassa Timo sur la joue. Après s’être doucement relevés, ils entrèrent dans l’usine pour rapidement effectuer leurs missions. A l’intérieur du bâtiment… il n’y avait que des dealers… armés. Ca n’allait pas être très compliqué. Ils commencèrent tout d’abord par se séparer, pour observer un peu le terrain. Il n’y avait pas beaucoup de trafiquants… mais ils avaient l’air de faire beaucoup de trafic, vu leur armement… Un peu plus tard, un homme assez imposant par sa taille et son volume, qui portait des vêtements qui coûtaient sûrement très chers, marchait vers un grand camion où des kilos de drogues étaient interposés.
Homme : Où en êtes-vous ? Dealer : Tout est chargé. On peut s’en aller. Homme : Allons-y…
Timo et Marine étaient reliés entre eux par une oreillette radio qui pouvaient leur permettre de parler très discrètement. Et ils étaient vraiment bien organisés…
Timo : Bon… on doit les avoir. Tu les prends par devant puis je te rejoins peu après. Marine : Bien reçu.
La fille en bleu suivit les instruction puis se posta devant la sortie du camion de l’usine. Les dealers furent eux aussi surpris par sa beauté, ainsi que le chef du groupe…
Timo, tout seul : Mais qu’est-ce qu’ils foutent…
Dealer : Hey, beauté ! Tu veux me sucer la pipe ? Autre dealer : On n’a qu’à se la faire à deux ! Ah ouais ! On fait ça ! Homme : Et sans votre chef ?! On se la fera à trois.
Marine semblait s’énerver. Timo se dit qu’il était peut-être le moment d’agir… parce que là, ils allaient la violer.
Marine : Eh bien… je suis déjà avec quelqu’un ! JE NE SUIS PAS UNE PUTE !
Un silence général se fit. Même Timo se stoppa. Elle venait de dire ça… avec une larme dans la gorge ? Elle s’apprêtait à pleurer ? Eh bien… elle ne ressemblait pas à la fille à l’entrée de l’usine.
Homme : Ah oui ? Et tu es avec qui, ma belle ? Marine : Avec le garçon que tu vois derrière toi, grosse masse ! Timo : Euh…
Timo rougit peu après. C’était vraiment la première fois qu’une chose comme ça lui arrivait. Le chef des dealers commença à s’énerver, et ordonna à ses larbins d’attaquer les intrus. Marine rougit elle aussi, se demandant si elle avait faire une grosse bêtise en disant cela. En tout cas, l’homme riche ne supportait pas que la fille en bleu dise ça.
Timo : Je m’en occupe… Marine : NAN ! Laisse-moi faire. Timo : Mais… Marine : Rien ! Tu ne discutes pas.
Avant de partir à l’attaque, elle prit une seringue qu’elle remplit de radianactum puis qu’elle s’injecta. Les dealers furent assez surpris de ce geste. Timo aussi.
Timo : Maintenant, on me pique mon radianactum… Pas sympa. Marine : Mais je sais l’utiliser, regarde…
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| | | Rayquaza Administrateur
Nombre de messages : 497 Age : 24 Blâmes : 0/4 Pokédollards : 50 Date d'inscription : 13/12/2008
| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 14 Jan - 17:47 | |
| - Spoiler:
Elle rapprocha ses deux mains pour former une boule aqueuse entre… qui commença à grossir peu à peu. Au bout de quelques secondes, elle devient vraiment gigantesque et était également faite de glace. La glace commença à recouvrir entièrement la boule qui se sépara en plusieurs morceaux… puis en plusieurs autres morceaux encore… jusqu’à former des pieux de glace. Beaucoup de pieux de glace…
Marine : Alors ? On me trouve toujours aussi sympathique, maintenant, hein ? REPONDEZ-MOI BANDE D’ENFOIRES ! Dealer : Euh… j’ai plus envie de te violer euh… de te baiser et…
Marine avait jeté un gros regard noir sur l’homme qui venait de dire ça. Un petit nombre de pieux se dirigèrent vers l’énonciateur de la phrase choquante, puis le transpercèrent en le projetant contre un mur. Les pieux s’étaient enfoncés en lui. Le chef des dealers fut prit d’une soudaine frayeur… et pourtant il essayait de rester calme. Tous les autres sbires furent tués par les pieux de Marine… et justement, il n’y en avait plus.
Timo : Où tu vas, toi ? Homme : Relâche-moi ! Je connais des personnes qui sont vraiment dangereuses et… Marine : Tiens-le bien, Timo…
Marine sortit son poignard puis le planta dans la boîte crânienne du riche homme… que Timo relâcha. Il s’écroula à terre dans un grand boum. La fille aux cheveux bleus se dirigea vers la sortie de l’usine en prenant Timo par la main, qui était assez déboussolé. Celui-ci n’avait pas vraiment vu venir les évènements… et était troublé par ce qu’avait dit Marine… même si elle ne le pensait pas vraiment.
Marine : Tu sais Timo… Timo : Hmm ? Marine : Ce que j’ai dit tout à l’heure…je le pense vraiment… Timo : Hein ?! Marine : Oui. Tu es le seul mec qui ne pense pas qu’à baiser avec moi en me voyant. Et ça… c’est quelque chose de vraiment très rare, trop rare. Et puis… tu es mon style de mec. Timo : Euh… ben… Marine : Allez, retournons à la base.
Avant qu’ils ne repartent pour leur « logement », Marine fit un tendre bisou sur la joue, puis de dériva sur la bouche pour y glisser la langue qui se rencontrait avec celle de Timo…
Quelques heures plus tard, les deux équipes se réunirent dans la salle de briefing d’Arceus. Red et Plakia étaient couverts de sang et Timo et Marine se tenaient par la taille.
Arceus : Vos missions ont été parfaitement réussies. Dilo : Oui. Mais quel est le groupe terroriste dont vous nous avez parlé ? Arceus : Ce que vous avez détruit faisait parti du groupe. Pour l’instant, c’est tout ce que je peux vous dire. Plakia : Red ? Je peux te voir une seconde ? Red : Oui, mais pourquoi ? Plakia : Tu verras.
Ils sortirent de la salle d’Arceus, sous l’autorisation du dieu. La fille aux cheveux violets conduisit Red dans un coin tranquille, à l’abri des regards, puis commença à baisser le pantalon de l’adolescent. Celui-ci se demandait ce qu’elle faisait.
Red : Euh… Tu fais quoi ? Plakia : Quelque chose d’important. Red : T’es en manque ? Plakia : Euh… erf…
Plakia se mit à branler puis à lécher le sexe de Red, pendant une bonne minute. Plakia y allait aussi très doucement avec Red, qui se fait câliner par la fille en rose. Celle-ci recommença à lécher le sexe de Red, mais cette fois en le rentrant dans sa bouche puis en lui faisant des petites morsures… Après qu’ils eurent fini les préliminaires où la fille avait pu préparer Red pour la suite. Elle se redressa puis laissa Red pénétrer en elle ; ils y allèrent vraiment fort. La fille criait et trouvait ça assez bon, bien qu’elle ne s’intéressait pas du tout à ce genre de pratique, à cause de ce qu’elle avait subie dans le passé. Un terrible passé, d’ailleurs. Mais elle préférait ne pas s’en souvenir… Car c’était le pire moment de sa vie. Elle continua de procurer du plaisir à Red, jusqu’à ce qu’un liquide blanc apparut entre les deux entrejambes.
Red : Oups… Plakia : Je suis stérile. Red : Hein ?! Plakia : Oui… c’est une longue histoire et… Bref…
Un liquide violet s’était déposé sur le sexe de Red. C’était exactement le même liquide que sur Timo.
Plakia : Maintenant, il faut que tu avales ça. Tu verras, ça pourra te servir. Red : Mais… c’est un peu dégoûtant, non ? Plakia : Laisse-moi faire.
Elle lécha le sexe de Red pour venir embrasser ce dernier avec la langue, en transférant l’étrange substance d’une bouche à l’autre. Red fut comblé, il n’en redemanda pas plus.
suite à venir très rapidement, comme celle de ADM. J'ai posté tout ce que j'avais, comme un bûcheron xD | |
| | | Lukia Aemy Administrateur
Nombre de messages : 1439 Age : 28 Localisation : Ssbb Blâmes : 0/4 Pokédollards : 400 Date d'inscription : 05/12/2008
| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 4 Fév - 19:23 | |
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| | | Rayquaza Administrateur
Nombre de messages : 497 Age : 24 Blâmes : 0/4 Pokédollards : 50 Date d'inscription : 13/12/2008
| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 4 Fév - 19:35 | |
| Pour dans pas longtemps, comme pour l'autre. D'ici Jeudi-Vendredi, tout sera bon. | |
| | | Lukia Aemy Administrateur
Nombre de messages : 1439 Age : 28 Localisation : Ssbb Blâmes : 0/4 Pokédollards : 400 Date d'inscription : 05/12/2008
| Sujet: Re: Un nouveau monde Mer 4 Fév - 20:03 | |
| Car ça fait un moment que tu n'as plus posté de bout de ta fic. | |
| | | Rayquaza Administrateur
Nombre de messages : 497 Age : 24 Blâmes : 0/4 Pokédollards : 50 Date d'inscription : 13/12/2008
| Sujet: Re: Un nouveau monde Sam 7 Fév - 2:58 | |
| - Spoiler:
Dans le groupe, seul Dilo ne prenait pas de radianactum ; c’était le stratège du groupe, et également le savant. Il connaissait un grand nombre de choses sur la physique, les maths, la chimie et plein d’autres choses. Il avait même amélioré le radianactum pour qu’il dure plus longtemps. En revanche, personne n’avait su qui en avait volé, et qui en volait toujours. Ils étaient tous dans la même chambre, après une grande réorganisation. Mais Arceus ne laissait pas des « couples » dormir dans le même lit. Il savait très bien ce qu’il pouvait se passer. Leur chambre était nettement plus spacieuse, et tout le groupe s’entendait très bien à l’intérieur (comme à l’extérieur).
Le petit groupe se rendit à la salle d’entraînement, où Arceus les attendait. Quand ils y arrivèrent, ils furent surpris de voir Girénié et son équipe, qui étaient là les bras croisés. Le chef du groupe, le garçon lié à Giratina, avait un petit sourire au coin de la bouche. L’équipe de cet adolescent était composée de Luigi (lié à Lugia), Drak (lié à Darkrai) et Girénié (lié à… bah… vous le savez déjà). Le dieu prit ensuite la parole.
Arceus : Oui, vous allez vous affronter. Equipe Alpha, sélectionnez deux combattants. Equipe Delta, sélectionnez vous aussi deux combattants.
Les deux groupes firent leur choix pendant deux bonnes minutes. La sélection fut difficile pour le groupe des six.
Arceus : Equipe Delta, vos deux combattants ? Girénié : Drak et moi. Arceus : Hmm… intéressant. Et vous, équipe Alpha ? Plakia : Timo et moi. Arceus : Parfait. Vous allez aller en cage ; l’équipe gagnante est celle qui met l’autre équipe K.O. Vous ne pourrez pas vous échapper. Girénié : Ca me va… Je vais leur montrer ma puissance phénoménale. Timo : N’y croit pas trop, mon grand. Draik : AHAHAH ! Les ombres vont vous dominer ! Plakia, en baillant : Ouais, ouais… tu m’en diras tant…
Après un échange de regards noirs, ils entrèrent tous les quatre dans une arène où des grilles se refermèrent. Ils ne pouvaient pas sortir, ni même sauter au dessus : une grille recouvrait également le haut.
Arceus : Que le combat… commence !
Drak commença à former une boule ténébreuse dans ses mains tandis que Girénié faisait de même. Timo et Plakia, quant à eux, s’insérèrent du radianactum en eux. Eh oui… Arceus l’avait finalement autorisé.
Les deux garçons lancèrent chacun leur boule sur les deux membres de l’équipe Alpha qui les combattaient. Mais ces derniers esquivèrent facilement. Plakia fut la première à lancer un assaut ; elle prit Drak pour cible. Celui-ci voltigea jusqu’à la grille puis s’écrasa dessus. La fille aux cheveux violets le tenait d’une main, et lui donna de violents coups dans le ventre avec l’autre. Sa victime crachait du sang, en plus d’être tordu en deux.
Girénié : Ah… vous voulez jouer à ça, hein ? Drak : On le… on le fait ? Girénié : OUAIS !
Ils prirent chacun une seringue, et se l’insérèrent en eux. Il ne s’agissait pas du… radianactum ?! Et si… sous les yeux grands ouverts de l’équipe alpha, les deux membres de l’équipe adversaires sentirent une grande puissance monter en eux.
Timo : On va avoir mal… Plakia : Bah… On a aussi nos finals smashes. Timo : Ben ouaip, mais là ça nous désavantage en un point : contrairement à eux qui connaissent nos techniques, eh bien nous ne connaissons pas les leur.
Girénié sembla ravi de cette déclaration et avait sans doute prévu le coup. Il fallait vraiment s’attendre à tout avec lui. En plus, il avait l’air déchaîné.
Girénié : Il est temps… Drak : …de déchaîner… Girénié : …les flammes de l’enfer…
L’atmosphère commença à se rafraîchir. Ce qui ne manqua pas d’étonner Dilo :
Dilo : Mais… pourquoi parlent-t-ils de flammes alors que l’air est soudainement froid ? Hmm… il y a anguille sous roche…
Le garçon aux cheveux bleu sortit un petit calepin où il commença à y effectuer des calculs aussi farfelus que compliqués ; son visage commença à se crisper au bout de mains calculs. Apparemment, il avait résolu tous ses calculs. De leur côté, Draik et Girénié se concentraient. Leurs yeux noirs étaient fermés, et une étrange aura bleue les entourait. Ils pointèrent leur bras droit en direction de leurs ennemis.
Dilo : FAÎTES GAFFE ! ILS PRENNENT LA CHALEUR ENVIRONNANTE POUR VOUS L’ENVOYER ENSUITE ! Timo : Attends… il se servent de la chaleur de la pièce pour nous l’envoyer en plus de leur puissance ? Dilo : Mais t’es bouché ? Je viens de te le dire ! Plakia : Euh… on va avoir chaud. Timo : Nan, sans blague. Girénié : Et maintenant… Draik : …BLACK FIRE !!!
Leur bras à chacun devint noir. Des flammes se formèrent dessus, et se mirent à grandir, grandir… Ils projetèrent d’immenses flammes noires sur les deux combattants de l’équipe Alpha. Les flammes étaient très ardentes et formèrent un torrent très puissant. Timo et Plakia furent balayés et s’écrasèrent sur les barreaux de la cage et finirent à terre, leur corps étant carbonisé mais encore d’état. Leurs yeux étaient fermés et semblaient mal en point…
Arceus : Bon… eh bien… Red : Alors là… Dilo : Mes calculs étaient justes ! Ils se sont fait battre ! Marine : Relevez-vous ! Red : Allez, dépêchez-vous…
Ils avaient du mal à se relever. Ce final smash, puissant qui plus est, les avait complètement déroutés. Même Plakia avait grandement souffert et était ensanglantée. Elle n’arrivait même plus à tenir sa lame, ensanglantée elle aussi… mais du sang de la fille aux cheveux violets. Ce liquide rouge coulait entre ses doigts, ainsi que dans la main de Timo. Ce dernier avait aussi été secoué par l’attaque. Il avait essayé de se lever, mais Plakia l’avait retenu. Elle avait une idée en tête.
Plakia, chuchotant à son partenaire : Attends un peu. On va tenter une attaque surprise. Timo, chuchotant aussi : Comment on va faire ? Plakia : Ils s’approcheront de nous pour voir si nous avons été secoués. Et là, on attaque. Timo : Euh… t’es sûre qu’ils vont venir ? Plakia : Fais-moi confiance.
Et Plakia avait raison. Leurs deux ennemis s’approchèrent d’eux et se baissèrent pour voir leur état. Et ils ne s’attendirent pas à cela : Plakia donna un violent coup de lame en arrière qui toucha Drak et Timo fit de même avec Girénié. Ils s’écrasèrent tous deux de l’autre côté de la cage.
Dilo : Mais… comment ils ont fait ? Ils sont pas fatigués ? Red : A croire que non.
Timo : Allez, on en finit ! Plakia : On lance nos finals smashes ? Timo : Honneur aux filles… Plakia : FINAL SWORD !
Ses pieds ne touchèrent plus le sol et une étrange aura rouge l’entoura. Que prévoyait-elle ? Eh bien… Drak et Girénié n’allaient pas tarder à le découvrir. A peine énergie eut fini de se charger qu’elle se rua sur ses deux ennemis et les assaillis de coups avec sa lame. Les taillades faisaient écouler du sang, beaucoup de sang. Après une trentaine de secondes de massacre, elle chargea une boule d’énergie violette dans ses mains et en lança plusieurs sur ses deux nouvelles victimes. Timo, quant à lui, commença à se préparer pour son offensive. Et justement… lorsque Plakia finit son massacre, il lança son épée en l’air, entraînant ses deux ennemis pour leur faire le coup du…
Timo : GREAT ETHEEER !
Ils firent encore une fois martyrisés de coups violents et puissants. A peine eurent-ils terminés de souffrir en l’air que la redescente se fit douloureusement sentir. Eh oui… Girénié et Drak n’avaient pas encore gagné…
Arceus : Je déclare Timo et Plakia, de l’équipe Alpha, vainqueurs ! Timo : Ouaaais… Arrg…
Il s’effondra à terre. Seule la fille aux cheveux violets était restée debout… mais elle y arrivait difficilement.
Arceus : Emmenez-les se reposer. Vous aurez une mission, demain, et j’aimerais que vous soyez en forme. L’équipe entière moins les deux blessés : Bien, chef !
Ils dirent ça en se mettant au garde-à-vous, comme le stipulait le règlement… La fin de la journée passa. Timo et Plakia se reposèrent longuement, Dilo faisait des recherches, Red mangeait et les deux filles discutaient entre-elles. Au repas, Girénié et Drak ne se présentèrent pas. Même Arceus fut inquiet. Depuis leur défaite, ils avaient disparu ; personne ne les avait vu dans la base.
Mais ils étaient loin… très loin…
Girénié : Arg… je suis encore secoué… Drak : Ouaip, moi aussi. Euh… on est où, là ? Girénié : J’en sais rien. En tout cas, c’est tout noir.
Des lumières violettes s’allumèrent. Peu après, une fille habillée un peu comme Girénié s’avança vers ce dernier et son acolyte. Elle semblait assez jeune et portait des sortes de pics jaunes sur les côtés de sa taille. Elle portait un haut noir s’alliant avec son bas gris, où des ceintures contournaient tout le torse. Elle fit un petit sourire démoniaque aux deux garçons ; ses dents ressemblaient à des crocs.
???? : Bienvenue… dans mon château… Girénié : Euh… ???? : N’ayez pas peur. Je ne vous veux aucun mal… pour l’instant. Girénié : Et tu es qui ? ???? : Peu importe. Mais avant de vous enfermer à double tour, je tiens à vous dire que… celle qui tire les ficelles de ce réseau terroriste, c’est moi.
Drak fut très étonné de cette déclaration.
Drak : Hola hola ! C’est quoi ce bordel ?! On se retrouve ici sans savoir pourquoi, on tombe sur une fille plus que mystérieuse et cette dite fille nous parle de nos missions ? Mais dans quel monde on vit ?! ???? : Dans le monde des ténèbres… Drak : Et c’est quoi le rapport avec ce réseau terroriste ? ???? : J’ai entendu dire que vous essayez de le combattre et… Girénié, coupant la fille : On le combat parce que l’on est obligé de le faire… ???? : Ah, bon. Bref… je ne vous avouerai pas mes plans immédiatement, mais sachez que je recherche quelque chose nommé matière noire. Drak : Et c’est quoi le rapport entre des trafics de drogue, des braquages & co avec cette matière noire ? Tu recherches des ingrédients ?! ???? : Non… En fait, j’ai besoin d’argent… et de peur. Girénié et Drak : Hein ? ???? : Oui. J’ai besoin de peur… car la matière noire en a besoin pour se propager. Et il faut payer ces dealers et autres, non ? La peur, récoltée liquide grâce à un de mes sorts est transféré avec d’autres ingrédients dans un endroit dont moi seule connaît le secret. Et cette matière est bien plus puissante que votre radianactum… Girénié : Hmm… peut-être. ???? : Mais vous en savez trop. Et j’aurais besoin de vous, mes mignons. Maintenant… dormez !
La fille créa une fumée violette entre ses deux mains et la dirigea vers la tête des deux garçons… qui s’endormirent. Elle les téléporta dans des cachots séparés, protégés par une magie obscure… Pendant ce temps, dans la base d’Arceus :
Arceus : Hmm… J’ai un mauvais pressentiment. Je crois que… je crois que je vais enfin vous envoyer là-bas. Red : Où ? Arceus : Dans un endroit appelé le château obscur. Là-bas, la princesse des ombres, Gina, vous attendra… pour vous éliminer. Timo : Comme ça, sans raison valable ? Arceus : Oh… elle a plein de raisons. Mais je veux vite en finir avec elle. Allez la voir, et combattez-la. Plakia : C’est notre mission du jour, si j’ai bien compris. Arceus : …
Il ne répondit rien d’autre. Les membres de l’équipe alpha furent quand même un peu surpris de cette hâtive déclaration de mission. Qui était cette Gina ? Et pourquoi Arceus avait-il l’air aussi inquiet ? Ah… ce n’était pas le moment de penser à tout ça.
Dilo : Il est quatorze heures. Dans une heure, on se retrouve tous à l’entrée.
Mais ils étaient tous plongés dans leur esprit. Ils ne savaient rien de leur ennemie. L’heure passa et l’équipe entière se retrouva devant l’entrée de la base.
Red : J’ai la localisation. Il faut y aller, à présent. Timo : (J’ai l’impression de connaître ce nom… Gina… hmm… ça me dit quelque chose…). Plakia : Timo, tu fous quoi ? On t’attend ! Timo : Ah, euh… je réfléchissais. Plakia : Ben réfléchis en marchant.
Ils marchèrent pendant des jours jusqu’à arriver au château de la mystérieuse princesse Gina. Ils y arrivèrent mais furent surpris de leur trouvaille : le château était en ruines… et dans un endroit vraiment très obscur.
Timo : Euh… c’est là ? Red : Apparemment.
Au même moment, une démone, du château, regardait les arrivant à travers une fenêtre détruite.
???? : Mes nouveaux amis sont arrivés… il est temps de leur faire visiter le monde des ténèbres… gni hi hi hi…
Timo : Bon… on fait quoi ? Red : Ben tu frappes à la porte, quelle question. Timo, en frappant : Y A QUELQU’UN ?
Là, une fille assez jolie, habillée du même style que Giratina fit son apparition. Elle semblait plutôt ravie et n’avait pas l’air d’être méchante. Enfin… ce n’était que des suppositions.
Timo : Nous sommes l’équipe alpha de la brigade d’Arceus. Nous venons pour tuer quelqu’un. Red : Dans le genre discrétion, on peut pas faire pire… Dilo, en soupirant : T’aurais pu être un minimum discret dur le but de notre mission quand même, nan ? Timo : Bah… ???? : Oh ! Et qui cherchez-vous ? Timo : Une certaine Gina. ???? : HAHAHA ! Elle est ici. Venez, entrez !
Le groupe entra dans le château délabré. Et c’était tout ce qu’il y avait de plus glauque : toiles d’araignée dans tous les coins, tableaux bizarres ; on avait l’impression qu’il regardaient les alentours, odeur de moisi… bref, que du bonheur.
Et voilà ! N'oubliez pas qu'une partie a été rajoutée dans le dernier post de la fic (c'est marqué en rouge et en gras, on ne peut pas le louper xD | |
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